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Comment optimiser son SEO ?

Optimiser son SEO n’est pas si compliqué que ça en a l’air. Ce sont de nombreux éléments à mettre en place, des détails, qui font la différence avec la concurrence.

Il est bon de rappeler que le référencement naturel est un travail de long terme. Cela demande de la patience. D’abord pour mettre en place les éléments, ensuite pour apercevoir des résultats.

La première chose à faire pour bien référencer son site sur Google, c’est d’avoir une stratégie. Cela passe notamment par un objectif à avoir et de savoir comment l’atteindre. Ensuite, vous devrez mettre en place les trois piliers du SEO, qui sont le contenu, la technique, et la popularité. Attention, bien que les trois soit capital, il y a un ordre de priorité. Enfin je vous dévoilerai quelques éléments qui sont peu connus et peu utilisés, et qui vous permettront sans doute d’avoir un avantage sur vos concurrents.

Optimiser son SEO en ayant une stratégie 

En SEO, il faut fixer des objectifs sur plusieurs niveaux. Stratégie de mots clés, stratégie de netlinking, mais aussi une stratégie générale par rapport à votre projet. Il est notamment important de se fixer des objectifs. Cela permet de savoir où l’on va. Avoir un objectif aide à faire grandir un projet et à ne pas procrastiner. C’est important en SEO, mais aussi dans tout le monde de l’entrepreneuriat.

Définissez notamment quelle raison vous voulez faire du référencement naturel sur votre site. Est-ce pour faire davantage de ventes ? Pour avoir des inscrits à votre liste email ? Pour gagner en notoriété? 

D’ailleurs, prenez soin de définir les personnes à qui vous souhaitez communiquer : votre client idéal. Par exemple, récemment, l’un de mes clients m’a dit qu’il souhaitait s’adresser à des professionnels et non à des particuliers. J’ai donc pris sa remarque en compte pour faire le travail d’optimisation. Le ton à employer dans le texte que j’écris, les mots à utiliser, mais aussi la stratégie de mots clés sont alors adaptés à sa demande.

La stratégie de mots clés justement, parlons-en. Cela fait partie du pilier du contenu ; je reviendrai dessus plus en détail un peu plus bas. Mais il est important de faire une étude de mots clés pour connaître les termes sur lesquels vous souhaitez et pouvez apparaître sur Google. Ce travail de recherche et de stratégie peut-être assez long et fastidieux à faire, mais il en vaut la peine. Sans cela, le tout le reste du travail sera fait à l’aveuglette, et l’on ne saura pas vraiment s’il porte ses fruits.

Enfin, la stratégie de netlinking doit aussi être mise en place pour optimiser son SEO. Là encore, j’en parlerai plus en détail plus bas.

En fait, pour optimiser son référencement naturel, il faut avoir une profonde réflexion. C’est comme un jeu dans lequel il faut prendre des décisions importantes. C’est seulement après, suite à cette décision, que vous mettrez des actions en place. Mais sans avoir de stratégie, vous ne pouvez pas savoir ce qui est judicieux de faire. 

Optimiser son SEO avec les 3 piliers du référencement naturel

Le contenu

Parmi les trois piliers du SEO, le contenu est le plus important. Bien qu’il ne faille pas négliger les deux autres, c’est celui-là qui doit être votre priorité.

Le contenu, c’est simplement les textes qui apparaissent sur votre site. Les mots que vous choisissez et que vous publiez sont importants pour Google. Il va les analyser pour savoir de quoi parle votre page web. S’il trouve votre texte pertinent, il y a de fortes chances pour qu’il vous mette parmi les premières positions dans les résultats de recherche.

Un contenu pertinent est un contenu qui est détaillé : entrer dans le vif du sujet et n’oublier aucun détail. L’objectif est que le lecteur puisse apprendre des choses et ne se pose pas de nouvelles questions à la fin de l’article. Il doit avoir tout compris et ne pas avoir besoin de chercher des informations complémentaires chez un concurrent. Au contraire, si votre texte n’est pas complet, Google va le savoir et ne vous mettra pas en avant dans les résultats de recherche. Son but à lui est de proposer le meilleur contenu à l’internaute. Si le vôtre n’est pas parfait, il va plutôt favoriser l’un de vos concurrents.

Par ailleurs, les mots que vous utilisez ont une importance car ils vont aider Google à comprendre que, justement, votre contenu est pertinent et détaillé. Lorsque Google analyse tous les résultats, il les compare les uns aux autres. S’il y a des mots liés à votre sujet qu’il manque dans votre texte mais qui apparaissent chez les autres, votre SEO ne sera pas complètement optimisé. C’est pour cela qu’il faut avoir un vocabulaire riche lorsque l’on écrit sur Internet.

Enfin, l’étude de mots clés est d’une grande aide pour optimiser son référencement naturel. C’est un travail d’analyse et de réflexion qui amène à se poser une question : que doivent taper les internautes pour trouver votre site? Souvent, il y a plusieurs possibilités. Mais pour optimiser son SEO, il faudra cibler un seul mot clé. Le mot qui est idéal et celui qui est recherché par les internautes et qui est peu concurrentiel, tout en étant pertinent par rapport à votre activité.

La technique

En SEO, la technique regroupe 2 façon de voir les choses : 

  • Améliorer l’expérience utilisateur ;
  • Permettre à Google d’analyser facilement un site.

Quand on parle de technique en référencement naturelle, plusieurs éléments entrent en compte : 

  • Le balisage HTML ;
  • Le temps de chargement d’une page web ;
  • L’affichage sur mobile ;
  • L’indexation…

Généralement, la majorité de ces éléments sont mis au point dès la création du site, et n’ont plus besoin d’être retouchés. C’est notamment le cas du temps de chargement et de l’affichage sur mobile. Cependant, il faudra toujours prendre soin de publier des images légères pour ne pas ralentir le temps de chargement.

Seul le balisage HTML doit être travaillé au fur et à mesure de la publication des pages Web. Par ailleurs, il est recommandé d’avoir recours à un audit SEO de temps en temps pour savoir s’il y a des problèmes d’indexation ou d’autres erreurs liées à la technique.

La popularité 

La popularité est le dernier pilier du SEO à mettre en place. 

Le principe est simple: il faut acquérir des backlinks. Comment ? En écrivant des articles invités. Il s’agit d’un article de blog que vous rédigez et que vous proposez un autre blog, qui est dans votre thématique mais qui n’est pas concurrent. Vous allez y intégrer le lien de votre site. Une fois que l’article sera publié, les lecteurs pourront cliquer sur ce lien pour arriver sur votre site et le visiter. C’est donc un moyen d’avoir davantage de trafic, de visiteurs. 

Cette technique est également appréciée par Google. Si le lien de votre site apparaît dans plusieurs autres sites, Google se dira que votre site est pertinent puisqu’on parle de lui. Le moteur de recherche va donc avoir davantage confiance en vous et vous mettra de plus en plus en avant.

Mais attention : ce n’est pas si simple que ça. Pour que cette technique soit vraiment efficace, il faut mettre en place une véritable stratégie : c’est la stratégie de netlinking. 

En fait, il faut d’abord rechercher des sites qui pourraient accueillir votre article, les contacter et espérer qu’ils acceptent. Si oui, vous allez rédiger un article de qualité et placer le lien au bon endroit, avec une bonne ancre de lien. Il est recommandé de placer le lien le plus haut possible dans l’article, mais en évitant l’introduction. 

L’acquisition de backlink doit être régulière. Un seul article invité ne suffira pas. C’est quelque chose à faire sur la longueur, tous les mois sans exception si possible. C’est pour cela qu’il est conseillé de faire appel à un prestataire qui s’en occupera à votre place. Le consultant SEO peut très bien s’en occuper, cela fait partie de son métier. Comme ça, vous n’aurez pas à vous en soucier point cela vous permettra de gagner du temps pour faire quelque chose de plus pertinent par rapport à votre activité. C’est d’ailleurs quelque chose que je propose : si tu veux avoir des backlinks mais que tu ne veux pas t’en occuper, contacte-moi.

Optimiser son SEO en connaissant la situation de son site

Lorsque l’on a un site internet et que l’on veut avoir des résultats avec, il est primordial de suivre attentivement les statistiques. Il existe plusieurs outils SEO pour connaître des chiffres exacts concernant les performances de son site. Ils sont complets et permettent de tout savoir concernant les trois piliers du référencement naturel.

Regarder les statistiques au moins une fois par mois permet de faire le point et de savoir si les résultats sont à la hauteur des attentes. C’était également l’occasion de modifier certaines choses, de réajuster sa stratégie SEO. Certaines décisions peuvent être annulées ou ajoutées.

Sans connaître les stats de son site, il sera beaucoup plus compliqué d’optimiser son SEO. C’est grâce à ces stats que l’on sait quoi optimiser. Bien qu’il soit possible d’optimiser son site sans connaître les stats, ce travail serait fait à l’aveugle et les résultats risquent de ne pas être satisfaisants.

Connaître la situation de son site, c’est également possible en faisant un état des lieux SEO. Ce travail est effectué par un professionnel. Il faut en tout cas avoir des connaissances précises du référencement naturel et savoir utiliser quelques logiciels. Certains d’entre eux sont payants. L’état des lieux est l’occasion de regarder le site sous plusieurs aspects pour savoir, même sans connaître les stats, ce qui va et ce qui ne va pas. Nous allons notamment regarder si le contenu du site est pertinent, si la structure du contenu est respectée et si le balisage HTML est réussi.

Si vous souhaitez profiter d’un état des lieux gratuit, contactez-moi. Nous discuterons ensemble de votre projet professionnel et des objectifs que vous souhaitez atteindre avec votre site. Je vous propose un état des lieux gratuit dans lequel je regarderai votre site rapidement. C’est un travail qui ne me prendra que quelques minutes et qui me permettra de mettre en lumière certains aspects du site qu’il faudrait retravailler pour optimiser son SEO. Par la suite, je serais capable de mettre en place les actions nécessaires pour que le référencement naturel de votre site soit plus efficace. 

Pour rappel, avoir un site bien référencé sur Google permet d’avoir de nombreux visiteurs qualifiés qui peuvent devenir client. C’est un gage de sérieux et de qualité de votre part, et cela donne confiance aux prospects.

Combien de mots dans un article de blog ?

Quelle longueur doit faire un article de blog ? C’est une question qui revient souvent dans la bouche des blogueurs, et à juste titre. Trouver la longueur idéale est important pour satisfaire à la fois les lecteurs et Google. Alors, qu’en disent les statistiques ? La longueur a-t-elle vraiment une importance d’un point de vue SEO et utilisateur ? 

La réponse est oui… et non. 

La longueur d’un article de blog selon les statistiques 

Plusieurs études ont été faites pour déterminer le nombre idéal de mots dans un article de blog. 

OkDork

OkDork a découvert que plus les articles sont longs, plus ils obtiennent de partages. Ce sont particulièrement les articles de blog de plus de 3 000 mots qui ont le plus de succès. 

Nous parlons ici de partages sur les réseaux sociaux, mais aussi et surtout dans les autres blogs. C’est-à-dire que les autres blogueurs vous citent dans leur propre article. Tout simplement parce qu’ils ne peuvent pas faire mieux que vous, parce que vous avez des propos ultra pertinents, que vous délivrez du contenu unique… 

Backlinko

Backlinko a examiné 1 million de résultats dans les moteurs de recherche et en a tiré une conclusion : les articles longs se positionnent mieux que les courts. Ils constatent une moyenne de 1890 mots sur la première page de Google.

Moz

Le site de Moz est spécialisé en référencement naturel. Ils ont analysé 1 million de sites et ont remarqué deux éléments. 

Tout d’abord, les contenus de plus de 1 000 mots reçoivent davantage de partages que les plus articles plus courts. Pour rappel, il est très avantageux de se faire partager, que ce soit sur les réseaux sociaux ou sur d’autres sites web. Ces derniers, en vous partageant, vous procurent un backlink, élément important pour le bon référencement de votre site web. Si vous êtes régulièrement mentionné chez les autres, Google considère que votre site est pertinent et il vous mettra en avant dans les résultats de recherche.

Par ailleurs, ils constatent que la grande majorité des articles qui sont en ligne font moins de 1 000 mots. Votre mission est donc de créer du contenu qui dépasse ce nombre de mots pour espérer avoir un avantage concurrentiel.

Medium

Cette équipe s’est principalement intéressée à l’expérience utilisateur. Quelle est la longueur d’un article de blog idéale du point de vue du lecteur ? Pour eux, l’article de blog idéal se lit en 7 minutes. Ils mentionnent que cela revient à environ 1 600 mots. 

Au-delà de ce temps, la concentration du lecteur risque de décliner. 

L’équipe mentionne cependant qu’il ne faut pas forcément respecter cette règle au pied de la lettre. D’après eux, vous devez surtout créer du contenu en fonction de votre cible. Certaines personnes peuvent préférer les articles plutôt courts. 

SEMrush

L’équipe de SEMrush, un outil SEO populaire, nous apporte un nouvel élément. D’après eux, pour se positionner sur un mot-clé de longue-traîne, il faut fournir un contenu approfondi. Ils rapportent que les pages web qui se positionnent sur ces termes contiennent 20% de contenu supplémentaire par rapport aux résultats des requêtes courtes. 

SerpIQ

Ils ont mené une étude pour connaître la longueur moyenne des articles de blog. Pour cela, les contenus de la première page de Google sur plus de 20 000 mots-clés ont été analysés. 

Il en résulte que les contenus placés les premiers sur Google ont une moyenne de 2 450 mots. Le site classé 5e en a près de 2 300, et le 10e a une moyenne de 2 050. 

Hubspot

Étude confirmée par Hubspot, qui a analysé ses propres contenus. Ils ont remarqué que les articles possédant entre 2 250 et 2 500 mots génèrent davantage de trafic, tandis que les contenus de plus de 2 500 mots sont plus souvent partagés. 

Si vous êtes sur WordPress et que vous avez Yoast SEO, ce plugin vous conseillera un minimum de 300 mots. Ce qui est relativement faible par rapport aux autres longueurs conseillées… Preuve qu’il ne faut pas forcément faire confiance à cet outil, comme je le donne dans mon avis sur Yoast SEO… 

La longueur d’article de blog selon Google 

L’une des premières choses que j’ai apprises dans ma formation pour devenir rédacteur web, c’est le nombre minimum de mots que doit contenir une page web. 300. 

En dessous de 300 mots, Google risque d’accorder peu d’importance à votre page. Il pourrait juger que vous n’êtes pas allé au fond du sujet, que le texte n’est pas approfondi. Et il va préférer mettre en avant des pages qui sont plus complètes. 

Seule exception pour les fiches produits des e-commerces. Elles peuvent être plus courtes. 

Vous devez donc essayer de rédiger des articles de plus de 300 mots. En dessous de ce seuil, la page web risque de ne pas être indexée, c’est-à-dire qu’elle ne va simplement pas apparaître dans la SERP de Google. Si vous faites le tour du sujet, vous y parviendrez sans mal. 

Google n’impose pas de nombre de mots maximum. Cependant, il apprécie les longs textes. En rédaction web, il est souvent conseillé d’écrire des textes qui sont plus longs que ceux des concurrents.

Mais la raison à cela est souvent mal interprétée. 

Non, Google ne va pas vous mettre en avant pour la simple et bonne raison que vous avez publié 200 mots de plus que la concurrence. 

Google ne se base pas sur le nombre de mots, mais sur la qualité des mots. 

Plus le vocabulaire de votre texte est riche et varié, plus Google va apprécier. C’est le champ sémantique : tous les mots qui sont liés au mot-clé principal choisi. Si vous introduisez tous ces mots, Google saura que vous êtes allé au fond du sujet. Que vous répondez en détail à la problématique. Que vous êtes pertinent et que vous pouvez aider l’internaute. Cela peut faire pencher la balance pour le bon référencement de votre site. Et forcément, insérer tous ces termes dans le contenu de l’article donne au final un long texte.

Ne faites pas un long texte pour la seule raison de faire plus long que la concurrence. Faites un long texte pour qu’il soit plus pertinent, qu’il ait une valeur ajoutée et qu’il se différencie des autres contenus. 

Écrire un petit article n’est cependant pas à bannir. Il peut devenir viral s’il traite d’un sujet d’actualité, et être énormément partagé dans les médias sociaux. Par ailleurs, certains contenus ne nécessitent pas un long article. 

Le nombre de mots, un critère parmi d’autres en SEO

La qualité avant la quantité. C’est la conclusion de la plupart des études citées plus haut. 

On a beaucoup parlé du fait que les longs contenus sont plus souvent partagés. Cependant, pour qu’ils le soient, ils doivent intéresser les lecteurs. Ceux-ci doivent avoir une bonne raison de vous partager. La longueur ne suffit pas.

Il en va de même pour Google. Il doit avoir de bonnes raisons de vous mettre en avant. 

Saviez-vous que le moteur de recherche possède près de 200 critères pour classer les sites ?

Il y a énormément de détails à travailler lorsque l’on souhaite créer du contenu sur son site. Notamment : 

  • structurer la page avec des balises HTML ;
  • faire du maillage interne ;
  • se procurer des backlinks de qualité (c’est la stratégie du netlinking) ;
  • optimiser l’expérience utilisateur en ayant un affichage parfait sur mobile et un temps de chargement rapide ;
  • faire une étude de mots-clés pour maximiser ses chances d’être visible sur Google ;
  • optimiser l’URL et la Title…

Le comportement des internautes sur votre site a également son importance. Si l’algorithme de Google constate que les visiteurs restent peu de temps sur le site ou qu’ils n’ont pas la curiosité de visiter d’autres pages, le moteur de recherche pourrait perdre confiance en vous. Ce sont deux signaux envoyés à Google indiquant que votre site n’est pas très pertinent. 

D’où l’importance de la stratégie de contenu. Écrire sur le web n’est pas si simple. Définissez votre cible, puis créez des articles de blog en fonction d’eux. Cela concerne les sujets de vos articles mais aussi le ton que vous utilisez. La lecture doit être agréable pour vos lecteurs. On ne s’adresse pas de la même façon à des adolescents qu’à des retraités, ou à des personnes expertes dans un domaine comme à des amateurs. Pensez également à faire de courts paragraphes pour faciliter la lecture.

Le référencement, c’est de nombreux détails à prendre en considération pour que les internautes soient satisfaits lors de leur visite sur votre site. S’ils le sont, Google le sera aussi. 

Mais tous ces détails doivent être connus et appliqués. C’est pour cela que de plus en plus d’entreprises délèguent ce travail à des rédacteurs web pour écrire des articles, ainsi qu’à des consultants SEO. Ces professionnels connaissent ces différentes règles et savent les mettre en place. Ils peuvent aussi organisé une stratégie éditoriale, en créant notamment un calendrier. 

Pour que votre site internet semble professionnel et génère du trafic qualifié, faites appel à mes connaissances ! 

Rédacteur web débutant : 10 conseils de pro

Un rédacteur web débutant se pose des questions et c’est normal !

Est-ce vraiment un métier fait pour toi ? Comment vas-tu trouver tes clients ? As-tu l’âme d’un entrepreneur ? Sauras-tu écrire des textes de qualité ? Pourras-tu concilier ta vie pro et perso ?

Ce sont des questions que l’on peut se poser lorsque l’on souhaite devenir rédacteur web, que l’on est en train de suivre une formation ou qu’elle vient de se terminer. Voici 10 conseils pour commencer la rédaction web, selon mon expérience.

1- Prospecter, encore et toujours

Prospecter consiste à rechercher des clients. La majorité d’entre-nous n’aimons pas ça car c’est assez pénible et long à faire. Mais c’est une étape quasi indispensable lorsque l’on débute dans le monde de l’entrepreneuriat. Forcément, sans client, ta carrière ne va pas décoller !

La prospection doit être faite quotidiennement pour espérer trouver des clients le plus rapidement possible. Prends au moins une heure par jour.

Il y a plusieurs moyens de prospecter quand on est rédacteur web. Voici les techniques que j’utilisais :

  • contacter les sites qui font de la publicité sur Google : ils ont des besoins et du budget ;
  • contacter les sites qui sont mal placés sur Google, en s’assurant qu’ils sont toujours actifs ;
  • rechercher sur instagram des comptes qui ont un site que vous pouvez améliorer ;
  • créer un réseau sur Linkedin ;
  • rencontrer des entrepreneurs et chefs d’entreprises en face à face lors d’événements en présentiel.

Mails et coup de téléphone peuvent servir à la prospection. Pour ma part, j’ai longtemps envoyé des mails, mais n’ai reçu que très peu de réponses. J’ai ensuite décidé de prospecter par téléphone. J’avais une réponse 9 fois sur 10. Discuter directement aux prospects me permettait de leur faire prendre conscience des bénéfices que je pouvais apporter à leur site et leur entreprise. Je leur donnais un conseil gratuit en direct afin de prouver les compétences et de gagner leur confiance.

Ah, dernière chose : pour bien prospecter, identifiez votre client idéal. Et ne faites pas comme moi, soyez intelligent… Je m’étais mis en tête de contacter des jeunes entreprises, qui avaient forcément besoin de visibilité et de contenu sur leur site. Problème : elles n’avaient pas de budget, et c’est normal ! Résultat, je me retrouvais avec un taux de refus incroyablement élevé et avec des clients qui ne me rapportaient pas grand chose. Cela m’a cependant permis de m’entraîner, mais j’ai mis du temps pour vivre de mon activité. Dès l’instant où j’ai changé de cible, les choses se sont améliorées !

2- S’entraîner à écrire

Peu de temps après avoir lancé mon activité, l’un de mes petits clients m’a recommandé à un gros prospect, important dans son domaine. J’étais content : enfin l’occasion d’avoir un gros contrat ! Nos premiers échanges se sont bien passés, puis j’ai passé un test rémunéré (n’acceptez JAMAIS de test non rémunéré).

Et là, ce fut la douche froide. Refus du prospect de continuer la collaboration. Il n’aimait pas la façon dont j’avais écrit l’article. Il trouvait que les phrases étaient mal tournées, qu’elles manquaient de charme et que le texte n’était pas très séduisant ni agréable à lire. C’est vrai que je m’étais concentré sur la qualité des informations et non sur la qualité de mon écriture.

Cette remarque, on me l’a faite plusieurs fois au cours de mes premiers mois en tant que rédacteur web débutant.

Mais depuis longtemps maintenant, on ne me l’a plus jamais dite. Pourquoi ? Parce que je me suis entraîné à écrire.

S’entraîner à écrire est important pour un rédacteur web débutant. Il faut trouver son style, savoir comment jouer avec les mots pour construire de belles phrases. Par ailleurs, la façon d’écrire sur le web est spéciale. Il y a des règles à respecter, comme créer des phrases courtes, être dynamique et éviter le blabla. C’est un coup de main à prendre qui ne s’acquiert pas d’un coup. Cela demande de l’entrainement. Comme le pizzaiolo qui doit s’exercer à faire, une belle pizza (oui j’ai faim), le coiffeur qui s’entraîne à faire de belles coupes ou le footballeur qui répète sans cesse le même geste pour l’apprendre.

En plus, c’est relativement facile. Entraînez-vous à rédiger pour le web en faisant des petits exercices, comme :

  • résumer un livre ou film ;
  • rédiger un article sur l’actualité ;
  • faire le bilan de votre journée ;
  • raconter un souvenir ;
  • expliquer quelque chose que vous appréciez…

Vous pouvez aussi vous exercer sur des plateformes de rédaction tels que Textbroker, ou en créant votre propre blog. C’est d’ailleurs pour ça à l’origine que j’ai créé le mien.

3- Ne pas rester seul quand on est rédacteur web débutant

Il est important d’être entouré par ses proches, mais aussi par d’autres rédactrices et rédacteurs web.

Les proches sont les personnes avec lesquelles vous pouvez passer du bon temps et décompresser. C’est important de passer du temps en famille et entre amis, et de déconnecter du monde entrepreneurial. Ne passez pas toute votre journée et toutes vos semaines à travailler. Gardez du temps pour vous. Même si, effectivement, il faut énormément travailler.

Le réseau, constitué de rédacteurs web mais pourquoi pas aussi d’autres entrepreneurs, a aussi son importance. Si possible, entourez-vous d’autres rédacteurs web débutants. Ensemble, vous pourrez partager vos connaissances, vous encourager, vous féliciter… Vois l’un avancer motive à progresser également et à travailler plus dur en cas de coup de mou. Le réseau permet aussi de discuter business, chose agréable mais pas forcément possible avec les proches.

4- Renforcer ses compétences

Un bon entrepreneur est celui qui se forme continuellement, qui ne reste pas sur ses acquis. Si vous êtes rédacteur web freelance, vous êtes un entrepreneur et vous devez renforcer vos compétences. Car tout ne s’apprend pas dans une formation de rédaction web : communiquer notamment sur les réseaux sociaux, vendre et être convaincant, s’organiser, faire un devis et une facture… Sans parler des compétences qui feront de vous un rédacteur web plus complet tels que la maîtrise du SEO, du copywriting, la création de site internet…

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En renforçant vos compétences, vous aurez une trousse à outils bien remplie et pourrez diversifier vos prestations. Résultat, vous aurez des journées variées et différentes les unes des autres. Vous pourrez également trouver plus facilement des clients et avoir de meilleurs revenus.

Aujourd’hui, en plus de la rédaction web, je fais de l’analyse SEO, de l’optimisation et du montage vidéo.

5- Être organisé

Il faut savoir être organisé dans son travail pour être productif et faire ce qu’il y a à faire sans prendre de retard. Mais également organiser sa vie personnelle, car un rédacteur web freelance peut gérer son emploi du temps et travailler quand il le souhaite.

Par exemple, les personnes qui ont des enfants doivent profiter des moments où ils sont à l’école pour avancer sur leur business. Pendant les vacances scolaires, leur rythme de travail peut naturellement ralentir. Il faut le prévoir et s’organiser pour rendre le travail à temps.

Quand j’étais rédacteur web débutant, je n’étais pas organisé. Je travaillais à l’instinct et c’était un peu fouillis. Aujourd’hui, je prends le temps de noter chaque dimanche les principales choses que je dois faire dans la semaine. Et tous les soirs, je note ce que je dois faire le lendemain. Depuis peu, j’estime aussi le temps que me prendra chaque tâche. Cela m’oblige à utiliser au mieux ce temps. Par exemple, si je me donne 1h30 à écrire un article que je mettrai en temps normal 2h à faire, je ne suis pas tenté d’utiliser mon téléphone ou de traîner sur les réseaux. Enfin, cela me permet d’organiser ma journée de savoir plus ou moins ce que je ferai le matin et l’après-midi.

6- Se créer de la visibilité

Nous avons parlé, plus haut, de la prospection, d’aller au contact du prospect. C’est ce que l’on appelle d’outbound marketing.

Se créer de la visibilité est une autre stratégie pour trouver des clients quand on est rédacteur web débutant. C’est l’inbound marking : attirer le prospect vers soi.

Utilisez les réseaux sociaux pour vous faire connaître. Tous peuvent être utiles :

  • Linkedin, le réseau social professionnel, le meilleur endroit du web pour trouver des clients ;
  • Instagram, pour créer une communauté ;
  • Facebook, principalement pour intégrer des groupes de rédacteurs web afin d’élargir son réseau.

Créer votre site peut également vous aider à trouver des clients, bien qu’il faudra être patient.

Enfin, essayez de garder du temps pour rédiger et proposer des articles invités. L’article que vous allez écrire sera publié sur un autre blog : l’occasion pour vous d’être connu par ses lecteurs.

7- Se former

Que vous soyez autodidacte ou élève d’une formation en rédaction web, vous devez acquérir des connaissances pour exercer ce métier. Votre erreur serait de penser que tout le monde peut devenir rédacteur web du jour au lendemain. C’est faux. Il s’agit d’un métier complexe.

Suivre une formation est bien plus avantageux que d’être autodidacte, mais cela représente un coût. C’est un investissement. La formation vous permettra d’avoir rapidement les connaissances nécessaires, de faire des exercices et de faire des erreurs.

Un autodidacte devra passer du temps à s’entrainer de son côté pour ne pas faire les erreurs avec des clients. Apprenez le métier de rédacteur web en répétant les idées évoquées en point 2 de cet article. Essayez également d’être bénévole pour avoir de l’expérience. Petit à petit, vous pourrez avoir des petits clients.

Voici une bonne formation en rédaction web que je peux te conseiller.

8- Définir son tarif

Imaginez : vous êtes au téléphone avec votre premier prospect, tout se passe bien, il semble séduit. Vous êtes sur le point de décrocher votre première mission. Puis arrive la question fatidique :

« Quel est votre tarif ? »

Vous aurez chaud tout un coup si vous n’y avez pas réfléchi en amont. « Euuuuuuh » n’est pas une réponse envisageable.

Vous pouvez définir votre tarif :

  • au mot. Pour ma part, c’est 0,09 € le mot, soit 90 € pour 1 000 mots.
  • à l’heure. Me concernant, je suis à 40 € de l’heure. J’utilise ce type de tarif lorsque je fais de l’optimisation SEO et de l’analyse.
  • au forfait. Je n’en propose pas pour le moment. Proposez un pack, par exemple 350 € pour 4 articles de 1 000 mots (au lieu de 360 €).

Comment définir son tarif en rédaction web ? Il s’ajuste selon l’expérience. Le mien a beaucoup évolué jusqu’à ce que je trouve celui qui me convient. Gardez en tête que tout ce que vous allez gagner ne vous reviendra pas : 22% de votre CA trimestriel sera renversé aux impôts. Ne fixez donc pas un tarif trop faible.

9- Lutter contre le syndrome de l’imposteur

C’est un classique chez l’entrepreneur et chez le rédacteur web débutant : le syndrome de l’imposteur. De temps en temps, vous aurez le sentiment de ne pas mériter votre revenu, ou de ne pas avoir les compétences nécessaires pour satisfaire les attentes des clients. Peut-être que vous n’oserez pas contacter un gros prospect, par peur de ne pas être à la hauteur.

Vous aurez peut-être raison.

Mais il faut quand même tester. Vous êtes à la hauteur ? Tant mieux, c’est super ! Votre confiance et votre moral seront à leur paroxysme. Vous n’êtes pas à la hauteur ? Tant pis, pas grave, y’a plein d’autres personnes qui ont besoin de vos services. Au moins, vous aurez essayé et vous n’aurez pas de regret.

Vous êtes rédacteur web. Certes débutant, avec peu d’expérience, mais vous êtes rédacteur web ! C’est votre métier ! Vous avez des connaissances que peu de personnes ont. Vous connaissez bien plus de choses que vos clients.

Moi aussi, lorsque j’étais rédacteur web débutant, je n’avais pas confiance en moi et en mon travail. Ça s’est fait petit à petit, notamment grâce à mes clients. En répondant à leurs questions, je prenais conscience que j’avais bel et bien des connaissances. Ça vous arrivera, à vous aussi.

10- Avoir le mindset de l’entrepreneur

En étant rédacteur web freelance, vous êtes chef d’entreprise et il faut en avoir conscience. Votre objectif est de générer un maximum de chiffres d’affaires. Et pour cela, il faut avoir le mindset de l’entrepreneur.

En regardant des vidéos, en écoutant des podcasts, en se rendant à des conférences, vous aurez cet état d’esprit.

Grosso-modo, pour être entrepreneur, il faut être :

  • ambitieux ;
  • déterminé ;
  • patient ;
  • optimiste ;
  • courageux ;
  • dans l’action :
  • créatif.

C’est en ayant cet état d’esprit que vous pourrez surpasser les obstacles, apprendre de vos erreurs, et vous améliorer, jour après jour.

Voilà ce qu’il y a à savoir si tu es rédacteur web débutant ! J’espère t’avoir apporté l’aide dont tu as besoin 😊 N’hésite pas à me contacter si tu souhaites avoir d’autres conseils ou simplement développer ton réseau 😉

Partage cet article s’il t’a été utile, pour que d’autres rédacteurs web débutants puissent en profiter 🔥

Mes 5 plus grosses erreurs de SEO lorsque j’ai démarré mon blog

Lorsque l’on se lance dans le blogging, on fait tous des erreurs dans la gestion de son référencement naturel. 

Dans cet article, j’ai décidé non pas de te donner les 17 meilleures astuces SEO pour arriver en première position sur Google. Non, beaucoup le font déjà.
À la place, je vais te parler de mes 5 plus grosses erreurs pour référencer un blog… et de comment ne pas les faire.

1. Écrire des articles pour moi, sans penser à faire une recherche de mots clefs

Ma première erreur en pensant au SEO a été… d’ignorer complètement ce qu’était cette histoire de référencement naturel ! 

J’écrivais des articles pour moi, pour me faire plaisir, en me persuadant que, d’une manière ou d’une autre, ils allaient « trouver leurs lecteurs ». 

Spoiler : ça n’est jamais arrivé. Ils n’ont trouvé aucun lecteurs (à part ma Maman). 

C’est à ce moment-là que j’ai compris l’intérêt de faire une recherche de mots clefs pour écrire des articles qui attirent beaucoup de visiteurs.

Et puis avec le recul, je me rends compte que le cadre qu’impose cette recherche de mots clefs booste ma créativité. Elle m’oblige à trouver un moyen de rendre intéressant un sujet qui ne me passionne pas forcément. 

Surtout, ça m’aide pour trouver un sujet d’article de blog !

Je dois le rendre sexy coute que coute. 

Voilà le nombre d’impressions sur mon blog durant les 3 premiers mois de sa vie.

Devine à partir de quel moment j’ai eu l’idée d’intégrer des mots clefs précis dans mes articles ?

2. Penser que les backlinks vont apparaître naturellement

Bien. J’avais maintenant des articles qui, petit à petit, ont attiré des visiteurs. En voyant ça, je me suis dit que, finalement, le SEO était quand même intéressant. Ou du moins, que ça valait le coup que je m’y mette.

Alors j’ai fouillé le web à la recherche de formations et autres articles. Et à chaque fois, j’entendais parler de ce linking externe, ou le netlinking, les backlinks

Et avec ma naïveté légendaire, je me suis dit que mes articles fraîchement référencés étaient tellement bons que les autres blogueurs allaient obligatoirement vouloir me faire des liens sans que je ne demande rien. 

Pas besoin de faire des articles invités. J’étais au dessus de ça. 

2 mois plus tard : 2ème coup dur. Bim. Je me suis pris la réalité dans la tronche.

En fait, au début, tout le monde s’en fiche de nos articles. 

Les liens sont réservés aux 3 premiers sites de la page de résultats. Nous, blogueurs relayés à la page 12, devons aller les chercher nous mêmes ces précieux liens. 

Il faut passer du temps à écrire des articles invités. À la main. Un par un. Et là, miraculeusement, ça marche.

Regarde par toi-même : 

La courbe rouge représente le nombre de backlinks sur mon blog, et la orange le nombre de domaines référents qui me font ces liens. 

On voit bien que depuis que je me suis mis à faire des articles invités, les liens arrivent. Et surtout, les 3 mois précédents sont désertiques. 

3. Privilégier la quantité et pas la qualité

Fort de mes apprentissages, je me suis mis à rédiger une quantité incroyable de contenu sur mon blog, que je relayais dans quelques articles invités. 

Et là, nouveau problème : ces nouveaux « petits articles » ne me ramenaient personne. Pourtant, ils étaient autant travaillé pour le référencement.

Mais je ne passais pas assez de temps à essayer de me démarquer de mes concurrents. Je ne faisais pas un article plus long, ou plus intéressant, ou plus je ne sais pas quoi. Ils étaient identiques à la concurrence tout au plus. 

Alors je les ai supprimés et fusionnés. J’ai rédigé des contenus bien plus complets et dont, ne nous mentons pas, j’étais bien plus fier. 

Et ça a fonctionné. Les vues ont (enfin) commencé à arriver. 

Donc privilégie toujours la qualité à la quantité. Il vaut mieux un bon article que 3 mauvais. 

4. Oublier de mettre à jour mes anciens articles 

Tu connais la loi de Pareto ? 20% de tes articles vont apporter 80% de tes visites. 

Et je le vérifie sur mon blog. Alors imagine ma panique lorsqu’un de mes précieux gros articles a vu ses visites chuter. 

En 1 mois, il a perdu pratiquement 50% de ses visiteurs sans que Google ait annoncé une mise à jour particulière de son algorithme. 

C’est là que j’ai découvert le concept de la mise à jour de ses anciens articles. En fait, Google veut référencer le contenu le plus à jour sur une requête. Il faut donc lui envoyer régulièrement des signaux qui montrent que tu mets à jour tes écrits.

Du coup, j’ai ajouté quelques paragraphes, changé 2-3 trucs, et hop mon article est reparti.

Aujourd’hui, il dépasse même son niveau d’avant-crise. Comme quoi, cette aventure a vraiment eu du bon.

Maintenant je mets à jour mes articles tous les 6 mois. Ça me permet de créer des liens internes vers des nouveaux articles et d’ajuster quelques réglages.

Pour le moment, Google semble aimer ça. Je te le recommande vivement !

5. Croire le premier « hack » venu

À force de chercher à apprendre le fonctionnement de la Search Engine Optimization, je suis tombé sur de nombreux « hacks » révolutionnaires qui allaient, paraît-il, faire exploser mes vues en 2 temps 3 mouvements. 

J’en ai testé une grande partie de ces hacks. Et rien n’a jamais fonctionné. 

À la place, concentre-toi sur les basiques : 

  • fais des articles mieux que ceux de tes concurrents
  • trouve des liens qui pointent vers ton site.

C’est déjà un excellent début pour bien référencer ton blog !

Et si, plus tard, tu as besoin d’aller plus loin, pourquoi ne pas embaucher un consultant SEO qui pourra t’aider ? 

De mon côté, j’ai compris que mon temps était mieux utilisé à aller rédiger un autre article invité qu’à tenter d’apprendre une nouvelle technique SEO venant d’un conseil d’entrepreneur web qui allait (peut-être) me faire gagner 3 visiteurs par mois. 

Bref, ton chemin vers la page 1 de Google devrait être long et compliqué (désolé). Tu vas faire de nombreuses erreurs tout au long du parcours, mais elles sont en réalité la source de grands apprentissages. 

D’ailleurs, être 1er sur Google, ce n’est pas si simple !

Je sais, c’est bateau de dire ça… mais c’est la vérité ! 

Et tous ceux qui te disent qu’ils y sont arrivés « du premier coup » sont soit des menteurs, soit des chanceux. En réalité, c’est bien plus compliqué que ça. 

Merci à Paul pour cet excellent article invité ! Si toi aussi tu veux avoir l’un de tes articles sur mon blog, envoie moi un mail à [email protected] ou écrits simplement un commentaire juste en-dessous.

Comment fidéliser un client ?

L’une des principales problématiques d’une entreprise est de trouver des clients et de les convaincre d’acheter ses produits ou services. Or, il y a une chose à ne pas négliger : la fidélisation. Conserver ses clients tout en continuant d’en avoir de nouveaux permet à une entreprise d’accélérer sa croissance, de faire grossir son chiffre d’affaires. Heureusement, il existe de nombreux moyens de fidéliser un client :

  • proposer un produit complémentaire lors de la vente ;
  • faire des offres personnalisées ;
  • mettre en place un système de parrainage ;
  • faire bonne impression en toute circonstance ;
  • faire le bilan de ses actions pour s’améliorer, et plein d’autres astuces…

1- Fidéliser un client avec des offres personnalisées

C’est le marketing relationnel. Un client aime qu’on le traite d’égale à égale. Non, une entreprise n’est pas au-dessus de ses clients. Une entreprise est gérée par des humains, il faut lui donner cette image humaine. Les clients pourront ainsi se sentir en confiance avec elle.

On parle souvent de B2B (Business to Business) et de B2C (Business to Consumer). Aujourd’hui, une tendance tendance apparaît : le H2H (Human to Humain). Un entreprise n’est rien d’autre qu’un humain qui vend un produit ou un service à un autre humain. C’est ce qu’on appelle le marketing relationnel : créer une relation avec le client, comme s’il était un ami.

Comment y parvenir ? Avec des offres personnalisées. C’est le meilleur moyen pour que le client se sente concerné et véritablement pris en considération par votre marque. Une exemple pertinent serait l’envoie d’un cadeau le jour de l’anniversaire du client. Un bon d’achat, ou, si vous souhaitez frapper fort, la possibilité d’avoir un produit gratuit. Le client aura alors le sentiment que vous le connaissez et que vous faites attention à lui. Forcément, il aura tendance à vous apprécier et à revenir visiter votre boutique ou votre site.

D’ailleurs, une étude démontre un chiffre impressionnant. 90% des français estiment que les entreprises devraient davantage mettre l’humain au centre de leur relation avec leurs clients.

2- Fidéliser un client avec un programme de fidélisation

Le programme de fidélisation est l’un des moyens les plus efficaces de fidéliser un client. C’est en fait la mise en place d’un système de récompense. Plus le client est fidèle, plus il a d’avantages. C’est par exemple le cas avec un système de points, que l’on retrouvons chez certaines entreprises. 1 euro dépensé permet d’obtenir 1 point. Au bout d’un certain nombre de points, un produit est offert. Cela incite le client à dépenser davantage, mais aussi à dépenser plus régulièrement.

Un système de parrainage peut également être mis en place. C’est un procédé connu et classique, utilisé aussi pour certains jeux. Le client ou l’utilisateur possède un code parrain qu’ils peuvent transmettre à leurs proches. S’ils l’utilisent, le parrain aura une récompense, généralement un bon d’achat.

Enfin, pourquoi ne pas utiliser le système de cashback ? Cela permettra à vos clients de récupérer, dans une cagnotte, un petit pourcentage de leurs achats. Argent qu’ils peuvent cumuler pour gagner de l’argent !

3- Montrer au client qu’il est important pour le fidéliser

Un client qui se sent important pour une marque aura forcément plus d’estime pour celle-ci. Vous souhaitez fidéliser un client ? Montrez-lui que vous le connaissez, que vous l’aimez, et que vous souhaitez réellement l’aider.

Récemment, mes parents sont allés chez l’ophtalmologue. Ils sont clients chez-eux depuis toujours. Mais depuis quelques années, l’équipe d’accueil et les médecins ont été renouvelés. Désormais, mes parents sont traités comme un client lambda. Qu’ils soient clients depuis 35 ans ou depuis 2 ans n’y change rien. Aucune reconnaissance de la part du cabinet. Énormément d’attente, l’équipe parlait sèchement et n’était pas agréable… Ma mère a même dit :

« Ça se voit qu’ils vont d’un client à un autre pour le fric sans se soucier une seule seconde de l’aspect humain. »

Vous devez absolument éviter d’être dans cette situation. Si vos clients se disent ça de votre entreprise, vous avez perdu le jeu.

Pour fidéliser un client, montrez au client qu’il est important pour vous :

  • en étant toujours aimable avec lui ;
  • en lui demandant son avis, et en le prenant en compte ;
  • en se mettant à sa place et en le comprenant.

Je reviens alors aux offres personnalisées, dont j’ai parlé plus haut. En faisant un geste spécialement pour lui, il se sent important pour vous.

4- Fidéliser un client en ayant des produits uniques et améliorés

C’est logique, mais pas si simple à faire : avoir des produits uniques pour fidéliser un client. Forcément, si personne d’autre ne vend ce que vous vendez, les clients seront forcés de venir chez-vous.

Comment avoir des produits uniques ? Cela demande de l’imagination, de la créativité et de la réflexion, mais c’est possible. Mettez-vous à la place de vos clients et réfléchissez à quelque chose dont ils pourraient avoir besoin, sans avoir conscience eux-mêmes qu’ils en ont besoin. Quand ils verront votre produit, qui sera nouveau puisque personne n’y aura pensé, ils diront « bon sang mais c’est bien-sûr ! ».

Il est aussi possible d’améliorer ses produits, et c’est plus simple. Avoir des produits améliorés, mis à jour, permet de conserver leur qualité et de rester au goût du jour. Les clients verront également que vous cherchez toujours à progresser, que vous ne restez pas sur vos acquis, et que vous prenez en compte leurs remarques. C’est un véritable plus, surtout si vos concurrents ne le font pas. C’est aussi en améliorant régulièrement ses produits et ses services qu’ils deviennent nouveaux !

5- Fidéliser un client avec des newsletters

La newsletter est un canal de communication puissant pour une entreprise. Le principe : envoyer des mails aux clients ou prospects qui ont laissés leur adresse email. Ils ont ainsi exprimé leur souhait de rester en contact avec vous. Souvent, ils s’inscrivent à une newsletter après avoir acheté un produit ou lu un article de blog qu’ils ont apprécié.

La newsletter permet donc de communiquer directement avec ses clients et prospects. C’est un moyen de communication intime, un peu comme si c’était un message privé sur les réseaux sociaux. Elles fidélisent car elles permettent au client de mieux vous connaître. C’est aussi via les newsletters que vous pouvez informer vos clients de vos promotions, nouveaux produits, nouvel article de blog, nouvelle vidéo sur Youtube, nouveau podcast… Tout ce qui est neuf finalement ! Les personnes inscrites à votre newsletter pourront connaître avant tout le monde ces nouveautés.

Une newsletter bien écrite incite le lecteur à cliquer sur le lien qui est présent, et à consommer le contenu ou à acheter le produit en question. Elle permet également de maintenir le contact avec le client pour qu’il ne vous oublie pas.

6- Fidéliser les clients avec le cross-selling

Tout le monde connaît le cross-selling car c’est un procédé utilisé par les plus grosses enseignes. Le principe est simple : proposer un produit complémentaire.

Votre client achète un téléphone ? Proposez-lui des écouteurs. Il achète un carnet de coloriage ? Proposez-lui des crayons de couleur. Il achète une console ? Proposez-lui le dernier jeu sorti.

Cela permet avant tout de vendre davantage et d’améliorer votre chiffre d’affaire, mais aussi de prendre soin du client. Grâce à un produit complémentaire, le client pourra vivre une expérience très agréable avec son nouvel achat. De plus, il ne risque pas d’aller acheter de produit complémentaire chez un concurrent. Procéder au cross-selling donne une image professionnelle de votre marque et prouve que vous êtes soucieux du bien-être de votre clientèle.

7- Fidéliser ses clients grâce au marketing olfactif

Le marketing olfactif consiste à utiliser les émotions des clients pour les manipuler et les faire consommer davantage. C’est utilisé par de nombreux commerces sans-même que l’on s’en rende compte. En leur procurant une émotion positive, ils se sentiront bien dans votre entreprise et auront une bonne image de vous. De cette manière, ils seront plus enclin à revenir.

Le marketing olfactif a de vrais avantages, comme le confirme ces statistiques :

  • 85 % des clients considèrent que la musique améliore l’ambiance dans un commerce et a un impact positif sur leur humeur.
  • Les consommateurs passent 6 minutent de plus dans un commerce quand leurs sens sont activés.
  • Un commerce augmente ses ventes de 26 % lorsqu’il diffuse un parfum agréable.
  • 56 % des clients considèrent que le fait de pouvoir toucher un produit est le facteur le plus important pour l’acheter.

Laisser les clients servir de leurs sens est avantageux pour un commerce. S’ils repartent avec des émotions positives, ils garderont une bonne image de vous et seront prêts à revenir. Cela peut aussi donner lieu à des conversations avec leurs proches et vous faire gagner des clients grâce au bouche à oreille.

8- Fidéliser un client en faisant bonne impression

Faire bonne impression est la base, mais ce n’est pourtant pas le cas pour tout le monde. Montrez-vous poli et respectueux envers le client pour attirer sa sympathie et son respect. Cela fait échos avec le point précédent. Faire vivre au client une expérience agréable favorise son retour.

Forcément, être désagréable avec un client ne l’incitera clairement pas à revenir chez-vous.

Comment faire bonne impression ?

  • En sachant communiquer (avoir une voix claire, bien articuler, avoir un bon débit de paroles…).
  • En ayant des vêtements présentables.
  • En se tenant correctement (par exemple, croiser les bras envoie souvent un signal négatif).

C’est très simple. Peut-être trop pour certains.

9- Ne rien laisser au hasard pour améliorer la fidélité de ses clients

Votre entreprise doit être clairement définie. Rien ne doit être laissé au hasard, sinon le client le verra et ne trouvera pas cela sérieux.

J’entends pas là que l’aménagement de votre boutique, la création de votre site ou votre présence sur les réseaux sociaux doivent être définis stratégiquement.

J’ai déjà eu la chance de rédiger des articles pour une entreprise qui vend du mobilier pour les magasins. Voici quelques éléments à connaître pour aménager son commerce :

  • Placer les promotions et les nouveautés à l’entrée de la boutique pour attirer l’attention des simples passants.
  • Réaménager la vitrine tous les 15 jours pour y présenter de nouveaux produits et faire le ménage.
  • Organiser le parking du mieux possible : une voie pour les voitures, une voie pour piétons et une voie pour les camions de livraison.
  • Placer des espaces verts dans le parking pour qu’il soit agréable à voir.
  • Toujours concernant le parking, ne pas oublier d’y installer des caméras de sécurité et de l’éclairage.
  • Utiliser des têtes de gondole pour exposer des produits complémentaires.

Cela concerne aussi votre site web, qui doit être correctement structuré pour plaire aux clients. L’objectif est qu’ils restent le plus longtemps possible sur votre site, et non seulement quelques secondes. Pour cela, prenez garde au temps de chargement en publiant notamment des images compressées. L’introduction de vos articles doit être captivante. Placez des liens interne pour retenir le lecteur sur votre site.

10- Fidéliser en faisant le bilan

Faire le bilan est indispensable dès que l’on entreprend quelque chose. C’est un paragraphe que j’écris souvent dans mes articles 😅

En effet, comment savoir si les actions mises en œuvre ont fonctionné si l’on ne fait pas le bilan ?

Pour faire le bilan, il faut d’abord se fixer un objectif. Ensuite, regardez vos statistiques pour savoir si vos performances se sont améliorées. Faire le bilan permet de changer de stratégie si besoin, de mettre en place de nouvelles actions, d’en supprimer, d’en modifier. C’est important pour ne pas aller dans la mauvaise direction.

Maintenant que tu sais fidéliser un client, passe à l’action !

Il y a de multiples moyens de fidéliser un client. L’idéal serait de faire toutes ces techniques, mais attention à ne pas t’éparpiller. En voulant trop bien faire, tu risques au contraire de faire fuir le client. Grade en tête que tu dois faire en sorte que le client apprécie ta marque, tes produits et services, mais également tes valeurs et l’humain qui se cache derrière l’enseigne. Reste toi-même pour plaire aux clients que tu vises !

Tu as besoin d’aider pour structurer son site ? Pour rédiger les articles de ton blog ? Pour faire le point sur les statistiques de ton site ? Tu peux compter sur moi. Rédacteur web SEO depuis 2020, j’aide les sites web à être le plus haut possible sur Google grâce au référencement naturel. Ensemble, dépassons tes concurrents pour que tu deviennes le leader dans ton domaine !

Tu es intéressé ? Pour me contacter, tu trouveras les détails sur cette page 😉

Comment ne plus faire de fautes d’orthographe ?

45%. C’est le taux de Français qui maîtrisaient les règles d’orthographe en 2015 [1]. Plus de la moitié de la population faisait des fautes régulièrement. Pourtant, il est important pour un professionnel, quel que soit son domaine, de ne pas faire de fautes. Ne serait-ce que pour rédiger un CV et une lettre de motivation. Les fautes peuvent nuire à votre crédibilité. D’ailleurs, les rédacteurs web sont particulièrement concernés par cette problématique. Comment ne plus faire de fautes d’orthographe ? Je vous délivre 7 conseils faciles à mettre en place.

1- Faire des dictées

Les dictées ne sont pas réservées qu’aux enfants ! D’ailleurs, s’il en font dès qu’ils apprennent à écrire, c’est parce qu’il s’agit d’un exercice terriblement efficace. Pourquoi les adultes devraient-ils s’en passer ? 

Vous pouvez trouver facilement des dictées en ligne, comme sur ce site. Faites-en une par semaine pour progresser rapidement en orthographe sans y passer trop de temps. 

Après avoir fait une dictée, prenez soin de bien dénicher les fautes que vous avez faites. Puis essayez d’apprendre la règle qui la concerne, de savoir pourquoi vous avez fait cette erreur. 

Si vous en avez envie, vous pouvez refaire la même dictée plus tard dans la semaine. L’objectif sera naturellement de faire moins de fautes que lors de votre première tentative. 

2- Regarder des films et des séries avec les sous-titres en français

Regarder un film ou une série avec les sous-titres est efficace pour apprendre une langue étrangère. Il en va de même pour parfaire son français. 

Grâce aux sous-titres, vous allez voir défiler de nombreux mots et les lire, peut-être inconsciemment. C’est un bon exercice qui permet à votre mémoire d’enregistrer la bonne orthographe d’un mot. 

Le simple fait de lire un livre peut être tout aussi efficace pour ne plus faire de fautes d’orthographe. 

3- Se relire correctement 

Se relire est fondamental pour éviter les fautes d’orthographe. 

Tout le monde peut en faire, l’erreur est humaine. Des fautes de frappe peuvent se glisser dans le texte ou une erreur d’inattention peut se produire. Mais en vous relisant, vous pourrez identifier ces erreurs et les corriger. 

Comment se relire correctement ? Je conseille de le faire à tête reposée. C’est-à-dire qu’après avoir écrit, passez à autre chose et revenez dessus quelque temps après. Vous ne serez plus dans l’euphorie de la rédaction et pourrez vous concentrer plus facilement. 

Il est d’ailleurs important d’être très concentré. Ne relisez pas dans le but de lire simplement le message que vous voulez faire passer à travers votre texte. Votre unique but est de rechercher des fautes d’orthographe, d’accord, de conjugaison… Regardez chaque mot un par un, rien ne doit vous échapper. La relecture peut prendre un certain temps : il faut être patient. 

Enfin, si vous avez la possibilité de vous relire à voix haute, faites-le. Vous aurez véritablement la sensation de lire, et les fautes d’orthographe seront plus facilement identifiables. 

4- Apprendre les règles d’orthographe

Vous n’êtes pas doué en orthographe ? Alors, apprenez les règles. Tout peut s’apprendre, en ayant de la détermination et de l’ambition. 

Si vous avez de jeunes enfants, vous pourrez apprendre avec eux. Ça pourrait même créer un excellent moment convivial et instructif ! 

Si vous n’avez pas d’enfant, vous devrez vous débrouiller tout seul. Ce sera moins amusant, mais dites-vous que c’est pour la bonne cause ! Essayez d’être un bon élève et de faire des exercices. Mettez en pratique ce que vous apprenez. Les cours peuvent être trouvés gratuitement sur internet.

5- S’appuyer sur le Projet Voltaire pour éviter les fautes d’orthographe

Le Projet Voltaire est un outil d’entraînement en orthographe qui propose des leçons personnalisées. Il accompagne 7 millions de personnes, 5 000 établissements d’enseignement, de l’élémentaire à l’université, et plus de 2 000 entreprises. Le Projet Voltaire permet un apprentissage de l’orthographe simple et efficace. Il est possible de se faire accompagner par un coach en orthographe ou de suivre une formation en ligne. De nombreuses offres sont proposées. 

Le site web du Projet Voltaire contient également un blog dans lequel sont délivrés gratuitement une multitude de conseils en orthographe.

6- Se faire relire

Se faire relire est un moyen efficace de repérer les fautes d’orthographe qui se sont glissées dans un texte. 

Vous avez peut-être travaillé longtemps sur votre texte, vous en êtes fier et votre regard n’est peut-être pas objectif. L’intervention d’une tierce personne peut alors être d’une grande aide. Elle apportera un regard nouveau sur vos écrits et saura peut-être trouver des éléments que vous n’aviez pas repéré. 

D’une règle générale, se faire relire par quelqu’un d’autre permet aussi d’améliorer la tournure des phrases, d’être plus clair, d’éviter des répétitions… 

7- Éviter les fautes d’orthographe… grâce à Google !

Google serait-il un dictionnaire moderne ? Il semble que oui, même s’il n’est pas fiable à 100%. 

Vous hésitez sur l’orthographe d’un mot ? Tout ce que vous avez à faire est de rechercher dans Google ce terme avec l’une des deux orthographes que vous avez en tête Par exemple, faut-il écrire “défibrilateur” ou « défibrillateur » ? Ce mot contient-il 2 L ?

En cas d’erreur, Google nous corrige par lui-même : 

Bref, Google peut nous permettre d’apprendre l’orthographe d’un mot et de faire le bon choix en cas de doute. 

D’ailleurs, j’ai une question à vous poser. Selon-vous, le dictionnaire, que l’on a tous utilisé dans notre enfance, est-il has-been ? ⬇ 

[1] https://www.projet-voltaire.fr/documents/barometre_voltaire.pdf

38 Conseils SEO pour séduire Google

La mise en place d’une stratégie SEO solide permet à un site d’avoir de nombreuses visites qualifiées. C’est une très bonne manière pour une entreprise de développer son chiffre d’affaires sur le long terme. C’est pour cela qu’elles sont de plus en plus nombreuses à faire appel à un professionnel du SEO. Le référencement naturel est un métier. Faire des erreurs sur sa stratégie pourrait avoir des erreurs désastreuses sur le site. Si tu es débutant dans le milieu, ou que tu es blogueur et que tu n’as pas les moyens de faire appel à un pro, ces 38 conseils SEO te seront utiles !

Mes conseils SEO concernant le contenu d’une page web

Le référencement naturel est composé de 3 piliers : le contenu, la technique et la popularité. En tant que rédacteur web, je m’intéresse particulièrement au contenu. C’est le premier que j’ai appris pendant mes formations, et le premier que je vais vous expliquer ici.

1- Faire une étude de mots-clés

C’est peut-être l’un des éléments les plus importants en référencement naturel. L’étude de mots clés consiste à savoir sur quel terme il faut se positionner pour avoir une visibilité sur Google. Il faut savoir ce que l’internaute recherche, ce qu’il tape dans la barre de recherche.

Exemple concret. L’une de mes clientes voulait créer son site e-commerce et vendre des gants exfoliants. J’ai donc fait une étude de mots clés pour connaître le mot clé principal sur lequel nous devrions essayer de nous positionner. Plusieurs termes étaient possibles :

  • Gant exfoliant ;
  • Gant exfoliant en soie ;
  • Gant de crin ;

J’ai utilisé un logiciel qui indique le volume de recherche de chacun de ces mots clés. C’est-à-dire le nombre de fois où ces termes sont recherchés chaque mois. Il est inutile de se positionner sur un mot clé qui n’est jamais recherché : il n’y aura aucune visite sur le site. D’un autre côté, si votre site est récent, ne cherchez pas à vous référencer sur un mot clé qui a énormément de recherches. La concurrence serait trop élevée et vous ne parviendrez pas à être correctement référencé.

Ainsi, il est souvent intéressant de se positionner sur des mots clés de longue traîne.

2- Utiliser des mots clés de longue traîne

C’est un mot clé à longueur. Il est plus complet, plus détaillé que le mot clé classique. Par exemple, “gant exfoliant en soi” est la longue traîne de “gants exfoliant”, car il y a une précision supplémentaire.

Ces mots clés de longue traîne sont importants, surtout pour les petits sites qui sont peu puissants et qui ont encore peu de visite. Ce type de mots clés est peu recherché, mais également peu concurrentiel. Vous aurez davantage de facilité à vous placer correctement sur eux. 

De plus, ils permettent d’acquérir un trafic très qualifié. Une personne qui recherche un gant exfoliant ne veut pas forcément un gant exfoliant en soi. En ajoutant cette précision, les visiteurs de votre site seront prévenus. Vous n’en aurez peut-être pas beaucoup, mais ils seront tous très intéressés par vos produits.

Il vaut mieux être placé sur des dizaines voir des centaines de mots clés de longue traîne, plutôt que sur seulement quelques mots clés très généraux. Même si, individuellement, ces mots clés de longue traîne vous apporteront peu de visiteurs, ensemble, ils vous créeront une grosse visibilité et amélioreront votre trafic.

3- Recherche informationnelle ou transactionnelle 

Il existe deux types de mots clés : les mots clés informationnels et les mots clés transactionnels. Les premiers ont pour objectif d’informer l’internaute, les seconds ont un objectif de vente.

« Quel vélo d’appartement acheter  » est un mot clé informationnel. 

« Vélo d’appartement pas cher  » est un mot clé transactionnel.

Il est important de définir ce paramètre car cela a un impact sur la façon de rédiger votre texte. Si vous partez sur un mot clé transactionnel, vous devrez utiliser des mots tels que : 

  • vendre, 
  • acheter, 
  • prix, 
  • tarif, 
  • devis, 
  • payer… 

C’est important pour faire comprendre à Google que votre objectif est de vendre. Ces termes ne doivent pas apparaître si votre mot clé est informationnel.

Prenez ça en compte lors de votre étude de mots clés. Ne partez pas sur un mot-clé transactionnel si votre objectif est de donner des informations. Google fait le tri entre ces deux types de mots clés. Vous verrez par exemple que, et vous tapez “vélo d’appartement pas cher” tous les résultats qui apparaîtront seront des sites de vente, et non de simples articles de blog. Si vous rédigez un article sur ce mot clé, Google ne vous mettra pas en avant puisque ce n’est pas ce que recherchent les internautes, qui veulent seulement acheter.

4- Créer un blog

En parlant de blog, il est important d’en créer un pour votre site. Même si vous avez un e-commerce. Je vois trop souvent de boutiques en ligne qui n’ont pas de blog : c’est une erreur.

Le blog est la principale porte d’entrée de votre site. Sans blog, vous dites adieu à de nombreuses visites. Chaque article de blog se positionne sur plusieurs mots clés, parfois des dizaines ou même des centaines. Chaque mot clé vous apportera des visiteurs.

Les mots-clés d'un article de blog
Nous voyons ici que mon article sur le e-commerce se positionne sur 29 mots-clés différents.

Le blog d’un e-commerce peut-être un élément de vente puissant. Il va tout d’abord donner des informations aux internautes, puis les rediriger vers votre boutique et vos produits pour les inciter à acheter. Vous leur avez donné l’information qu’ils recherchent : ils auront alors confiance en vous et seront enclins à effectuer un achat.

Les seuls sites qui n’ont pas besoin de blog sont les entreprises locales qui ne cherchent pas à avoir de la visibilité partout dans le monde. Si vous avez une salle de sport à Lyon, le blog ne sera pas très utile car les habitants de Strasbourg ou d’autres villes n’ont pas besoin de connaître votre existence. En revanche, si vous avez une chaîne de sport présente dans plusieurs villes de France vous pouvez, et vous devez, avoir un blog.

5- Utiliser un vocabulaire riche et varié

C’est ce qu’on appelle le champ sémantique. Google va essayer de deviner le mot clé que vous avez choisi en décortiquant votre texte et en analysant votre vocabulaire. Si vous faites un texte sur le Sahara, mais que vous ne placez pas les mots “désert”, “Afrique”, “sable”, “chaleur”… Google jugera que votre texte n’est pas complet, pas pertinent. Il préférerait alors mettre en avant des textes qui eux, le sont. Il est donc important de faire une analyse de mots clés pour trouver tous les termes liés à votre sujet que vous devez essayer de placer dans votre texte.

6- La longueur de l’article

Conseils SEO sur la longueur du contenu

Nous en venons à une question qui est souvent posée : quelle longueur doit faire un article de blog ?

Il n’existe pas de réponse exacte à cette question. Il n’y a pas de nombre précis. Mais essayez de faire l’article le plus long possible et de rédiger plus de mots que vos concurrents. 

Comme je viens de le dire, Google aime que le vocabulaire soit riche et complet, qu’il ne manque pas de mots importants liés au sujet. Si vous le faites, votre texte sera naturellement long, car il sera complet et détaillé. Par ailleurs Google a tendance à favoriser les textes longs car il considère qu’ils sont plus approfondis et donc de meilleure qualité que les textes plus courts. 

Mais ce n’est pas une vérité fatale et certains articles assez courts peuvent tout de même se référencer correctement, s’ils ont intégré suffisamment de vocabulaire et s’ils ont respecté de nombreux autres critères du référencement naturel.

Une chose à savoir cependant : ne faites pas d’articles qui ont moins de 300 mots. Dans ce cas, Google jugera que votre texte est trop court et donc pas suffisamment travaillé pour convaincre les internautes. Seule exception pour les fiches produits qui elles peuvent avoir un contenu plus court.

7- Structurer le texte

Votre article doit être structuré. Avant de commencer la rédaction, vous devez rechercher les informations, les écrire sur papier, et créer votre plan. Il doit y avoir un fil conducteur dans votre article, pour que l’on ne passe pas du coq à l’âne et pour conserver l’attention du lecteur.

Prenez soin de faire une introduction, au moins deux paragraphes, puis une conclusion.

8- Aérer le texte pour faciliter la lecture

Pensez également à aérer le texte pour faciliter la lecture. Personne n’aime lire un gros bloc de paragraphe. Il est beaucoup plus agréable de lire des petits blocs de deux trois lignes chacun des espacés les uns des autres.

C’est l’un des principes de rédaction web. Gardez en tête que de nombreuses personnes naviguent sur Internet avec l’aide de leur smartphone et visitent votre site sur leur mobile. Il est beaucoup plus difficile de lire sur un petit écran que sur ordinateur. De plus, l’internaute peut être diverti par plusieurs éléments tels que les notifications ou l’environnement extérieur. Aérer le texte et faire des phrases courtes permet d’apporter une dynamique et de conserver l’attention du lecteur.

Si vous le pouvez, n’hésitez pas à ajouter des images, des vidéos, des listes à puces ou numérotées, des tableaux…

Pourquoi faut-il conserver le lecteur sur le site le plus longtemps possible ? Car il existe une donnée importante que prend en compte Google : le taux de rebond. Il s’agit du pourcentage d’internautes qui ont quitté votre site en ayant visité qu’une seule page, sans prendre le temps d’en lire d’autres. Si ce taux est élevé, c’est mauvais signe pour votre référencement naturel car les internautes n’ont visiblement pas été convaincus par le contenu de la page. Ils n’ont pas eu envie d’aller voir d’autres pages de votre site. Ce qui envoie un message négatif à Google, qui comprend alors que votre site n’est pas très pertinent, et qui lui donnera un petit malus, freinant légèrement son référencement.

9- Écrire pour l’internaute

Cela fait écho au point précédent. Vous devez identifier votre cible, la personne à qui vous souhaitez adresser un message. Cela vous permettra d’adapter votre vocabulaire et le ton que vous utilisez. On ne s’adresse pas à un jeune de la même façon qu’à un retraité, ou un débutant dans le sujet que l’on aborde comme à quelqu’un d’expérimenté. Vous devez écrire pour l’internaute, et pour le potentiel client qui visite votre site.

C’est important pour le référencement naturel de votre site, car si l’internaute ne se retrouve pas dans vos textes, il sortira de votre site. Ou bien, il ne restera pas longtemps sur votre page. Nous avons mentionné le taux de rebond précédemment. Il existe une autre donnée que Google analyse attentivement : le temps moyen passé sur une page. Si cette durée est courte, ça envoie le message à Google que votre texte n’est pas agréable à lire, pas pertinent, et donc que votre site ne mérite pas d’être bien référencé.

Vous pouvez connaître  le taux de rebond de votre site ainsi que le temps moyen passé dessus sur le logiciel gratuit Google Analytics.

10- Étudier la concurrence

Avant de rédiger un article de blog, allez voir ce qu’on fait les concurrents. C’est important de prendre connaissance de leur travail afin de faire quelque chose d’encore mieux, qui aura le potentiel d’être mieux référencé. Cela rejoint quelque peu tous les points précédents. Vous allez chercher tout le vocabulaire qui nous utilisé, regarder la longueur du texte pour en faire un plus long, et même pouvoir identifier un mot clé principal sur lequel essayer de vous placer.

Attention cependant à ne pas les copier totalement !

11- Attention au contenu dupliqué 

Si vous copiez le texte dans notre site et que vous le collez sur le vôtre, c’est du contenu dupliqué. Vous avez volé ce texte à un autre site. C’est totalement interdit, et c’est pénalisé par Google s’il le remarque.

Il peut mettre plusieurs mois à son apercevoir, mais une fois qu’il l’a vu, les conséquences sont fatales. Être pénalisé, cela signifie que votre site perd d’un coup toute sa visibilité sur Google. Si vous étiez premier, vous ne l’êtes plus. Et vous ne passez pas 2e ou 3e, non ! Vous passez 100e, voire encore plus loin. Ce qui vous rend finalement totalement invisible sur Google. Et ce qui peut mettre en péril votre entreprise. Le contenu dupliqué est donc quelque chose à éviter absolument.

Seules les citations peuvent être copiées-collées. Google n’est quand même pas sadique à ce point 😉 

12- Position 0 et PAA

Ce sont deux éléments qui vont améliorer encore un peu plus votre visibilité sur Google, et votre trafic organique.

La position 0 existe maintenant depuis quelques années. C’est le premier aliment qui apparaît sur Google lorsque l’on fait une recherche. Ce sont quelques mots qui répondent de manière claire et concise à une question. Cela peut également être un tableau, des listes à puces… 

Exemple d'une position zéro : c'est une liste à puces.
Exemple d’une position 0 : c’est une liste à puces.

Essayez d’y être présent pour gagner encore un peu plus la confiance des internautes et avoir plus de visibilité. Vous pouvez y parvenir en posant une question dans votre article, et en y répondant juste après en une ou deux phrases.

Les PAA sont comme des positions zéro, mais qui ne sont pas à la même position. 😅 Vous en avez sans doute déjà vu sur Google lorsque vous faites une recherche. Il y a d’abord la position 0, puis quatre questions sont posées sur lesquelles on peut cliquer pour avoir la réponse. Les PAA, ce sont ça. 

Exemple de PAA

Y être présent permet d’accroître sa visibilité, et surtout de rendre les concurrents moins visibles, puisque vous leur voulez la vedette. La position 0 et les PAA prennent tout l’écran, ce qui réduit la visibilité des sites suivants. En y étant présent, vous avez tout à y gagner. La technique pour être présent dans ces People Also Ask est la même que pour être dans les positions 0.

13- Attention au cannibalisme

Il faut faire attention de ne pas se manger les uns les autres, même quand on a très faim. Être cannibale, c’est mal. 😠

C’est mal aussi sur Google. Parce que le cannibalisme en référencement naturel, ça existe. On parle de cannibalisme lorsque deux pages d’un même site essaient de se référencer sur le même mot clé. 

J’ai vu par exemple un site dont l’un des articles était  » Comment avoir confiance en soi « . Jusque-là, pas de problème. Sauf que quelques mois plus tard, cette blogueuse avait de nouvelles idées sur le sujet. Elle a donc sorti un nouvel article intitulé « Comment avoir confiance en soi : deuxième partie ». C’est une erreur. Les deux articles vont se concurrencer eux-mêmes. 

Google doit faire un classement de toutes les pages qui tentent de se référencer sur ce terme. Or, si deux pages d’un même site se concurrencent elles-mêmes, Google ne sera pas laquelle mettre en avant. Sauf si l’une est vraiment de meilleure qualité que l’autre. Mais si elles sont similaires, il aura du mal à faire son classement. Alors il va pas se prendre la tête et va plus ou moins laisser ses deux pages de côté pour se concentrer sur les autres pages qui sont du coup plus intéressantes. Le cannibalisme peut donc vous jouer des tours et vous faire perdre de la visibilité sur Google.

Dans le cas de mon exemple, il aurait été plus intelligent de compléter le premier article. Oui, c’est possible, de modifier une page web déjà en ligne. Elle aurait pu aussi choisir un autre mot clé, qui est proche du terme original, mais différent. Comme “gagner confiance en soi”.

Faites attention à ce détail lorsque vous faites votre étude de mots clés et que vous réfléchissez aux prochains articles de blog de votre site.

Les conseils SEO concernant la technique d’une page web

Conseils SEO sur la technique d'un site

14- Réussir sa balise Title

Le title d’une page web, c’est son titre. C’est celui qui apparaît dans les résultats de recherche de Google, et celui sur lequel l’internaute clique pour accéder à la page. Il doit donner envie de cliquer, mais doit également être optimisé pour aider la page à être le plus haut possible dans le classement de Google.

Pour cela, il y a quelques critères à connaître et à respecter : 

  • Ne pas dépasser 55 caractères ;
  • Classer le mot-clé principal à l’avant ;
  • Utiliser le moins de mots possible.

Un title trop long aura des difficultés à être lue par le robot de Google. Si le mot-clé principal est à l’avant, Google lui apportera une importance plus forte, ce qui aide au bon référencement de la page.

Souvent, les titles sont formulés sous forme de question, ou avec des chiffres, comme c’est le cas pour mon article.

15- Réussir la meta description

Elle n’a en fait aucune incidence sur le référencement d’un site. A première vue. 

La méta description correspond aux deux petites lignes qui se trouvent juste en dessous du title. Elle donne des informations sur le contenu de la page, et a pour objectif d’inciter l’internaute à cliquer. Google ne prend pas en compte le contenu de la méta description pour référencer une page web. Elle a tout de même son importance car sans elle, la probabilité d’avoir des visites s’affaiblit. 

Essayez d’y incorporer les éléments de réponse à la question posée dans votre title, pour montrer à l’internaute que votre article pourra l’aider. Il est aussi recommandé d’y mettre le mot clé. Enfin, essayez de ne pas dépasser 350 caractères, sinon la méta description ne s’affichera pas en entier.

16- Optimiser les urls 

L’URL, ou le permalien, est l’adresse de votre page web. Elle doit être optimisée pour faciliter la lecture des robots de Google.

Une URL optimisée comporte un maximum de 4 mots, dont le mot clé principal de la page, et n’a ni majuscule, ni caractère spécial.

Attention, une fois que la page Web a été mise en ligne, l’URL ne doit pas être modifiée.

17- Le balisage HTML

Le balisage HTML à son importance en référencement naturel car cela structure une page. Cela aide les robots à l’analyser, mais guide également les yeux des internautes. Cela leur facilite la lecture.

Quand on parle de balise HTML, nous parlons :

  • du H1 ;
  • des H2, H3… jusqu’au H6 ;
  • de la balise Alt.

La Tilte et la meta description font aussi partie de la famille.

Le H1 est le titre de la page. Contrairement au title, celui-ci ne s’affiche pas sur les résultats de recherche de Google, mais seulement en haut de votre page web. Le H1 peut-être similaire ou différent de votre title.

18- Avoir un site rapide à charger

40% des internautes quittent un site qui met 3 secondes ou plus à charger (Source).

Avoir un site assez rapide à charger est important pour votre référencement naturel, ainsi que pour l’expérience utilisateur. Effectivement, si un site est long à charger, l’internaute perdra patience et ira chez un concurrent. La même réaction se produira c’est Google. Il n’appréciera pas que votre site prenne du temps à se charger. Il ne pourra pas le conseiller à ses utilisateurs, et ne le mettra pas en avant. Ce qui est synonyme d’un mauvais référencement.

Pour avoir un site rapide à charger, pensez à vider le cache de temps en temps grâce à un plugin. Vous pouvez en trouver gratuitement sur WordPress. Mais ce sont les images qui ont la plus grosse incidence sur le temps de chargement d’une page. Veuillez à les compresser pour qu’elles fassent moins de 100 Ko. Plus l’image est légère, plus la page sera rapide à charger. Vous pouvez aussi les convertir au format WebP : elles seront encore plus légères.

Vitesse de chargement de mon site

19- Optimiser les images

Restons dans le domaine des images : il est important de les optimiser. L’objectif est double : les faire apparaître dans Google Images, et aider les robots de Google à comprendre ce qu’elles représentent afin de faciliter le référencement de la page.

Pour cela, le plus important est de remplir la balise alt. Il est recommandé de décrire ce qui est présent sur l’image. Outre le référencement, cette balise aide les personnes malvoyantes à comprendre ce qu’il y a sur l’image.

Le nom du fichier de l’image a également son importance. Ne laissez pas un nom par défaut, rempli de chiffres. Les robots de Google seront embrouillés et cela ralentira leur compréhension de la page. Le nom du fichier de l’image doit ressembler à une URL : chaque mot espacé par un tiret, pas de majuscule ni de caractère spéciaux.

20- Rediriger les liens morts

Conseils SEO : rediriger les liens morts

L’une des pages de votre site les plus actives ? Il n’est plus utile que les internautes et que Google la voient ? Vous devez alors la rediriger, car c’est un lien mort.

Ce lien là n’a aucune utilité, elle n’a pas besoin d’apparaître dans Google. Évitez donc à ces robots de perdre du temps et de l’énergie à l’analyser pour la classer dans les résultats de recherche.

Il est conseillé de la rediriger vers une page qui est encore active. C’est très simple si vous êtes sur WordPress. Un simple plugin gratuit peut vous permettre de le faire en seulement quelques secondes.

Vous pouvez prendre connaissance des différents liens de votre site qu’il faut retirer en utilisant le logiciel gratuit Google Search Console.

21- Avoir un site en HTTPS

Avoir un site en HTTPS signifie que le site est sécurisé. Qu’il est notamment possible d’y faire des achats en ligne sans danger, et que l’internaute n’attrapera pas de virus en le visitant. C’est un critère que Google prend en compte pour classer les sites dans ses résultats. Si votre site est seulement HTTP, le convertir en HTTPS devrait être l’une de vos priorités, surtout si vous avez un e-commerce.

22- Avoir un site responsive

Avoir un site responsive signifie que le site s’affiche correctement sur les différents mobiles. C’est aujourd’hui une donnée très importante car la moitié des internautes naviguent sur le web avec leur smartphone.

23- Intégrer des liens internes

Les liens internes ont une importance plus forte que ce que l’on pourrait penser. Il s’agit du lien d’une page de votre site que vous incorporez dans une autre page de votre site. L’objectif est de conserver l’internaute sur son site le plus longtemps possible. Vous le redirigez vers une autre page pour lui apporter des informations complémentaires.

Google apprécie le maillage interne car cela renforce la crédibilité qu’il a envers la page que vous maillez. Il aura davantage confiance envers elle. En clair, si l’un de vos articles de blog apparaît en deuxième page de Google sur un mot clé, essayer de mettre son lien dans un maximum de pages de votre site. Si possible en haut de la page. Vous verrez quelques temps plus tard que la page sera mieux référencée. Grosso-modo, le lien interne a le même pouvoir SEO que le backlink.

24- Ajouter des vidéos

C’est un conseil SEO que je donne souvent à mes clients. Intégrer des images, c’est bien, mais intégrer des vidéos, c’est mieux. Les vidéos renforcent la confiance que l’internaute a envers vous. Il se rend compte que vous n’êtes pas qu’un robot, mais un véritable être humain comme lui (normalement 😅). En attendant le son de votre voix, votre intonation, en voyant vos gestes, il peut se laisser séduire. D’ailleurs, la communication corporelle est tout aussi importante, voire davantage, que la communication verbale. Cela n’est possible qu’en face à face ou par vidéo.

25- Faire un suivi SEO

Faire un suivi permet de connaître la progression du site et de son référencement naturel. Il existe un outil parfait pour cela deux. Ranks. C’est un outil SEO payant qui suit quotidiennement la place du site sur des mots clés. Tous les jours, le logiciel indique si le site a gagné des places ou en a perdu. Il y a aussi une courbe qui représente l’évolution du classement du site, jour après jour. Cela permet de savoir, à moyen terme, si le référencement naturel du site est efficace. C’est important de savoir afin de prendre les mesures nécessaires pour améliorer les choses.

Suivre les performances de son site avec Ranks

26- Faire un bilan SEO 

Le bilan SEO est encore plus complet que le suivi. Il faut également faire le suivi, mais ne pas s’en contenter : d’autres éléments interviennent.

Le bilan est réalisable grâce à deux outils gratuits : Google Analytics et Google Search Console. Je les ai déjà évoqués plus haut et je reviendrai en détail un peu plus tard. Mais ils sont l’occasion de connaître les statistiques précises du site. Regardez-les mensuellement pour connaître l’évolution et ajuster des choses si nécessaire.

27- Faire une veille SEO

Faire une veille permet de connaître les dernières tendances en référencement naturel. Google se met à jour très régulièrement et il est important de connaître ses nouveautés. Faire une veille consiste à regarder au moins une fois par semaine les sites officiels de Google, qui sont en anglais, pour prendre connaissance des nouvelles annonces.

C’est de cette façon que votre site sera toujours moderne, et respectera les critères des algorithmes de Google. Sans cela, il pourrait y avoir de nouvelles règles importantes que vous ne connaissez pas et qui pourraient nuire au référencement de votre site Internet.

Mes Conseils SEO concernant la popularité du site

28- Les backlinks

Un site internet doit avoir des backlinks. Ça peut faire la différence avec les concurrents.

Un backlink, c’est le lien d’un site présent dans un autre site. C’est comme si le site B disait à ses lecteurs et à Google d’aller visiter le site A car il propose du contenu pertinent. C’est une sorte de recommandation. Ils sont importants pour le référencement naturel car Google apprécie beaucoup ses recommandations. Si l’on parle de vous positivement, ça veut dire que votre site est qualitatif et peut répondre aux besoins des internautes. Google va donc vous mettre en avant.

Il est donc important d’avoir de nombreux backlinks. Mais attention : ils doivent être puissants. Cela signifie qu’ils doivent se trouver dans un site populaire, que Google connaît et apprécie. Également être dans un site qui aborde la même thématique que le vôtre. Si possible, le lien doit se trouver dans le premier paragraphe d’un texte. Veillez enfin à ce qu’un maximum de sites différents vous créent un backlink : on parle de Domaines Référents..

Les backlinks peuvent être créés grâce à des articles invités, mais cela prend du temps et nécessite des connaissances en rédaction web. Vous pouvez alors acheter des backlinks… par exemple, auprès de moi 😉 Je m’occuperai de tout à votre place.

J’explique en détail comment avoir des backlinks dans ce guide.

29- Les ancres de lien

Conseils SEO sur les ancres de liens

Les ancres de liens font référence aux backlinks. C’est le bout de texte sur lequel le lien est collé, et sur lequel on peut cliquer pour accéder à la page Linky. C’est généralement un mot ou une expression. Cet ancre de lien doit être judicieusement choisi car il a une importance en référencement naturel.

J’en parle en détail dans cet article. Mais retenez que l’ancre doit principalement être le nom de votre site, votre marque, voire votre nom.

30- Do Follow / No Follow

Il s’agit d’un attribut que l’on peut donner à un lien externe.

Petit point vocabulaire tout d’abord:

  • Un backlink, c’est quand le lien de mon site se trouve dans un autre site;
  • Un lien externe, c’est quand je crée un backlink à quelqu’un. En clair c’est quand il y a le lien d’un autre site dans le mien.
  • Un lien interne, c’est le lien d’une page de mon site dans une autre page de mon site.

Le no follow, c’est quand on met le lien d’un autre site dans son site, mais qu’on ne veut pas que Google le considère comme un backlink. Exemple : si l’un de mes concurrents nous démontre une statistique, je n’ai pas d’autres choix que de le citer comme source. Mais pour éviter de lui donner un coup de pouce SEO, je vais mettre son lien en no follow. En gros, les internautes pourront le voir de façon normale, mais Google ne le verra pas.

C’est un paramétrage poussé qui n’est pas forcément nécessaire, surtout lorsque l’on démarre et que l’on vient de créer un site. Mais c’est un détail qui peut faire la différence avec la différence et qu’il faut connaître.

Par ailleurs, lorsque vous essayez de vous procurer des backlinks grâce à des articles invités, assurez-vous que le site qui vous accueille n’ai pas mis votre lien en nofollow. Sinon, ça ne s’agira à rien d’un point de vue SEO. Il existe plusieurs plugins gratuits que vous pouvez installer sur votre navigateur et qui vont identifier les liens en no follow. 

31- Attention à l’échange de liens

Un débutant en SEO ou un néo blogueur peut faire une grave erreur lorsqu’il souhaite avoir des backlinks : procéder à l’échange de liens. C’est une procédure pourtant courante, mais qu’il faut éviter à tout prix.

L’échange de liens, c’est lorsque deux sites se créent des backlinks mutuellement. Le site A en fait un pour le site B, le site B en fait un pour le site A. Google comprendra dans ce cas qu’il s’agit d’un partenariat entre les deux propriétaires de site, et que ces backlinks n’ont pas une vraie valeur. Google ne les prendra donc pas en compte pour votre référencement naturel.

En clair, si le lien de votre site se trouve dans un autre site, le lien de celui-ci ne doit pas se trouver dans le vôtre.

Si c’est le cas, Google ne va pas le pénaliser au point de vous donner un malus. Mais il va simplement l’ignorer. C’est une action qui n’aura servi à rien.

Mes conseils SEO sur les principaux outils à utiliser

Les principaux outils SEO

32- Ranxplorer

Il s’agit d’un logiciel payant. Mais il est très complet et un peu donner des informations importantes.

Ranxplorer permet notamment de connaître le trafic estimé de n’importe quel site, pas seulement du sien comme c’est le cas pour Analytics ou Search Console. C’est donc idéal pour faire une analyse concurrentielle par exemple. Il indique également sur quels mots clés se trouve un site, ainsi que leur volume de recherche. Donnée précieuse lorsque l’on effectue une étude de mots clés. C’est un outil que j’utilise quasiment quotidiennement et que je recommande.

33- Keyword Surfer

C’est un plugin gratuit qui peut être installé sur Chrome ou Firefox. Il indique plusieurs éléments, tel que le volume de recherche d’un terme, des mots clés similaires, le nombre de mots dans une page, le trafic d’un site… 

Je l’utilise notamment pour connaître le nombre de mots qu’ont rédigés mes concurrents, afin de créer un texte plus long.

34- Keywords Everywhere

Ce plugin est similaire au précédent. La différence, c’est qu’il donne davantage de suggestions de mots clés, mais qui ne renseigne pas sur le nombre de mots présents dans la page. Il n’indique pas non plus le volume de recherche mensuelle d’un terme. Ce plugin peut cependant nous renseigner sur les notes de popularité d’un site. Ces notes sont liées au nombre et aux qualités des backlinks, comme vu précédemment. C’est une donnée importante, car un site qui a une note élevée pourra difficilement être concurrencé.

35- PageSpeedInsight

Ce logiciel est gratuit et disponible directement sur Google. Il n’a pas besoin d’être téléchargé. C’est un outil SEO qui donne une note sur le temps de chargement d’un site. Les principaux éléments à corriger pour que cette note soit meilleure sont indiqués. C’est important de connaître ne serait-ce que la note pour savoir si le temps de chargement de notre site est correct ou non. Quand ce n’est pas le cas, c’est généralement la faute à la taille des images.

36- Ranks

Ce logiciel SEO est payant. Il permet de faire un suivi des mots clés de manière quotidienne. Son intérêt a été expliqué dans le point numéro 25.

Je ne l’ai pas utilisé quand j’étais rédacteur web débutant parce que je n’en avais pas vraiment besoin. Je pouvais m’en passer, ce n’était pas le plus important à faire. Mais depuis que je l’ai, je le regarde tous les jours, alors que ce n’est même pas la peine. Une fois par mois peut normalement suffir. Je le trouve génial, il permet de mettre le doigt sur quelques éléments à corriger ou à surveiller de près, et l’on découvre parfois de belles surprises !

37- Majestic SEO

Ce logiciel permet d’analyser les backlinks que possèdent les sites. Tous les détails sont donnés. Certains ne sont visibles qu’avec la version payante, mais la version gratuite révèle tout de même de nombreux éléments. C’est un outil indispensable pour faire un audit SEO ou même un état des lieux.

Il existe également un plugin gratuit qui peut être utilisé de manière illimitée, tandis que le logiciel en lui-même est limité à une poignée d’utilisation quotidienne de manière gratuite. Le plugin est intéressant car il révèle rapidement les informations les plus importantes.

38- Mes conseils SEO, en bref

Le SEO, c’est mon métier. Je ne connais pas tout, parce que Google a ses mystères, mais je ne suis plus un débutant dans le domaine. Si vous avez des questions, des besoins, des problèmes, vous pouvez m’en parler. Je suis à votre écoute pour vous aider. J’aime parler de référencement naturel, que ce soit avec des collègues, des clients ou des personnes qui sont débutants en SEO.

Besoin d’aide pour le référencement de votre site ? Je peux vous proposer mon état des lieux qui vous donnera de précieux indices pour améliorer la visibilité de votre site sur Google. Je peux également aller plus loin en faisant un audit SEO complet. Enfin, que ce soit de la rédaction, de l’analyse concurrentielle, de l’étude de mots clés, du suivi de mots clés, ou simplement de regarder vos statistiques, je suis à votre disposition. Vous n’avez qu’à me contacter et je trouverai un créneau pour vous aider.

Si vous souhaitez apprendre le SEO, vous pouvez également me contacter. Je propose des coachings en référencement naturel. Je serai heureux de vous transmettre mes connaissances, de manière encore plus précise que dans cet article.

Comment apprendre le SEO : pourquoi, pour qui ?

Aujourd’hui, une entreprise dont le site fait l’impasse sur le référencement naturel fait l’impasse sur un potentiel chiffre d’affaires important. C’est grâce au SEO qu’un site peut : 

  • avoir un grand nombre de visites qualifiées ;
  • avoir un avantage concurrentiel ;
  • donner confiance à ses prospects.

Si vous avez un site, quel qu’il soit, vous devez l’optimiser pour que son référencement naturel soit au top. Pour cela deux solutions s’offrent à vous : vous former, ou faire appel à un professionnel pour qu’il s’occupe de la stratégie SEO du site. Apprendre le référencement nécessite de la rigueur et de la détermination, mais ce n’est pas si compliqué que l’on pourrait penser.

Que tu sois blogueur, e-commerçant, ou un futur professionnel du SEO comme un référenceur ou un rédacteur web, cet article est pour toi.

Définition du SEO

Tout d’abord, le SEO, qu’est-ce que c’est ? C’est de l’optimisation pour les moteurs de recherche. Faire du SEO, nommé aussi référencement naturel, permet à un site d’être parmi les premiers résultats dans le classement de Google. On dit alors qu’un site est bien référencé. 

Cela est possible en répondant du mieux possible auprès de 200 critères des algorithmes de Google. Si Google est si précis, c’est pour permettre aux internautes qui font des recherches de trouver rapidement ce dont ils ont besoin. Des réponses, des solutions, des produits qu’ils veulent acheter ou des services dont ils veulent faire appel.

Le référencement naturel est un travail de long terme qui nécessite de la patience et de la détermination. Les résultats des actions faites peuvent se montrer plusieurs mois plus tard. Mais cela vaut le coup car ses avantages sont nombreux.

Apprendre le SEO : pourquoi ?

Faire du SEO permet de :

  • Avoir un trafic qualifié ;
  • Avoir un trafic exponentiel ;
  • Améliorer sa visibilité sur le long terme ;
  • Réaliser davantage de ventes ;
  • Asseoir sa domination sur la concurrence ;
  • Être crédible aux yeux des clients ;
  • Avoir la confiance des internautes.

En mettant en place une stratégie SEO en béton, un site peut être dans les premiers résultats de Google, voire premier. C’est ce que doivent rechercher tous les propriétaires de site internet s’ils veulent augmenter leur chiffre d’affaires. 

Les statistiques parlent pour elles-mêmes.

Entre 70 et 80% des internautes ignorent les résultats payants et font confiance seulement aux résultats naturels. Dans ce contexte, procéder au SEA serait prendre le risque de perdre jusqu’à 80% de clics, donc de clients potentiels. 

Par ailleurs, 67% des clics sont reçus par les 5 meilleurs résultats naturels. Le reste du top 10 ne reçoit que… 4% de clics. Ne visez pas seulement la première page de Google : visez les 5 premières places. 

Enfin, 88% des internautes qui découvrent une entreprise sur Google grâce au référencement local vont la visiter dans la semaine. 

Vous pouvez découvrir de nombreuses autres statistiques SEO sur ce site anglais.

Comment apprendre le SEO ?

Il existe 8 moyens d’apprendre le référencement naturel

Apprendre le référencement avec une formation 

C’est sans doute le moyen le plus rapide et le plus efficace d’apprendre le référencement naturel. Les formations délivrent de nombreuses informations fiables, proposent des exercices pour pratiquer, permettent de se construire un réseau… et tout ça en, généralement, 6 mois. 

Être guidé par le formateur est un véritable plus car il nous apporte son expérience pour que nous ne fassions pas ses erreurs. Par ailleurs, même si une formation SEO n’est pas forcément reconnue par l’État, elle peut impressionner les clients et leur donner confiance. 

Suivre une formation en référencement naturel aide donc à trouver des clients, mais aussi à hausser ses tarifs pour vivre plus confortablement de son activité.

Une formation en référencement naturel est payante, mais rapidement rentabilisée.

Apprendre le référencement avec un coaching individuel

Le coaching individuel diffère de la formation car il s’agit d’un programme personnalisé. Le coach SEO va déterminer vos points faibles lors d’une discussion ou d’un questionnaire afin d’établir un programme spécialement conçu pour vous. Il sera accès sur vos principales difficultés. 

Un débutant en SEO n’aura ainsi pas le même coaching que quelqu’un qui connaît déjà les bases. Le contenu, mais aussi le nombre de séances et donc le tarif du coaching, peuvent ainsi varier. De cette façon, le coaching en référencement naturel s’adresse à absolument tout le monde. C’est au formateur de s’adapter.

Un coaching permet d’apprendre les bases en référencement naturel, mais n’est pas autant approfondi qu’une formation. Il n’y a pas autant de cours, pas autant d’exercices, et le coach a souvent une moins forte expérience qu’un véritable formateur.

Le coaching vaut surtout pour les personnes qui doivent approfondir un point spécifique du référencement naturel, ou connaître seulement les principaux éléments.

L’autre différence avec la formation, c’est que le coaching se fait en visio avec le coach. L’élève n’est pas seul. Il est accompagné de A à Z par le coach. Même après les séances, l’élève peut poser des questions à son coach. Ce dernier peut ainsi suivre son évolution. Or, dans une formation, l’élève doit souvent se débrouiller par lui-même une fois qu’il l’a terminé.

Apprendre le SEO avec des livres et des ebook

Il existe aujourd’hui plusieurs livres et ebook traitant du référencement naturel. Vous pouvez en demander pour Noël ou votre anniversaire pour approfondir vos connaissances dans ce domaine.

Le livre de Olivier Andrieu est l’un des plus connus.

Lire un livre SEO permet d’apprendre tout en passant un moment de détente. Il est conseillé de le lire en prenant des notes et donc d’être éveillé. Si possible, ne le lisez pas avant de vous coucher.

Les informations que contiennent les livres de référencement naturel peuvent également être trouvés sur internet. Mais le livre à l’avantage de pouvoir être lu quand on a pas de réseau ou de wifi, par exemple en voyage.

Apprendre le référencement naturel avec les blogs

Internet est une mine d’or d’informations sur tous les sujets, y compris le référencement naturel. Il existe une multitude de blogs qui en parle. Si vous avez une question sur ce sujet, vous pouvez facilement trouver la réponse sur Google. Je vous conseille de lire les réponses de différents sites pour connaître leur avis sur la question.

Apprendre le référencement avec YouTube 

YouTube est aussi un endroit où l’on peut trouver de nombreuses informations sur le référencement naturel. Les vidéos sont souvent plus parlantes et plus détaillées que les simples textes. Ils apportent une dynamique et permettent de simplifier un propos et une problématique.

En regardant une vidéo sur YouTube vous pourrez avoir rapidement la réponse ou la solution à ce que vous cherchez.

La vidéo a également l’avantage de pouvoir revenir en arrière ou mise sur pause, contrairement à une conversation en face à face comme lors d’un coaching. Il n’y a cependant pas d’interaction possible, mis à part poster un commentaire en espérant recevoir rapidement une réponse.

Apprendre le SEO en discutant avec des pros

Discuter avec des professionnels, des personnes qui côtoient au quotidien ce secteur d’activité, peut permettre d’engendrer de l’expérience et d’assimiler de nouvelles connaissances. Recherchez-en sur les réseaux sociaux et sympathisez avec. D’abord en vous abonnant à leur compte, vous pourrez d’ailleurs connaître de nouvelles informations, puis en commentant leur publication. De fil en aiguille, vous pourrez discuter avec eux par message privé et nouer des liens. Certains sont très ouverts et n’hésitent pas à répondre aux questions. Les espaces de coworking sont aussi des endroits où l’on peut rencontrer des professionnels du SEO et discuter avec eux.

Grâce à ses contacts, vous pourrez non seulement apprendre le référencement, mais aussi avoir des contacts dans ce domaine. Se créer un réseau est important lorsque l’on travaille sur le web. Vous pourriez avoir besoin de plus tard, et ils pourront aussi faire appel à vous un jour.

Apprendre le référencement dans des événements 

Développer son réseau, c’est également possible en se rendant à des événements. Que ce soit de simples cafés entre entrepreneurs et chefs d’entreprise, ou de véritables conférences, ces événements sont l’occasion de rencontrer des gens. Certains événements sont dédiés au référencement SEO ou SEA. D’autres vont parler de manière plus générale de la visibilité sur le web. Dans tous les cas, ces événements permettent de développer son réseau et potentiellement d’acquérir de nouvelles informations.

Apprendre le référencement en faisant de la veille

La veille SEO, c’est se tenir au courant des nouvelles actualités en référencement naturel. Cela est possible en épluchant régulièrement les différents blogs de Google. Rédigés en anglais, ils sont tenus par des employés du moteur de recherche américain. Il donne des informations sur les nouvelles mises à jour des algorithmes de Google par exemple. Cela est important pour toujours être à la pointe de la modernité et connaître les nouvelles tendances.

Pour un débutant en SEO, la veille peut-être désagréable car il y aura de nombreux termes complexes. Mais c’est une très bonne manière d’apprendre tous ces termes et de se familiariser avec ce domaine.

Qui peut apprendre le référencement ?

Tout le monde peut apprendre le référencement naturel. Si vous avez un site, ou que vous travaillez sur le web, c’est une compétence que vous devez maîtriser. Cela concerne donc les blogueurs, les e-commerçants, les référenceurs, les développeurs et les rédacteurs.

Un entrepreneur qui lance son activité doit en connaître les bases pour être visible sur Google. Apprendre le référencement naturel coûte moins cher que de faire appel à un professionnel. Au début de son activité, il n’aura pas forcément les moyens de déléguer ce travail et devra le faire par lui-même. Il peut donc se tourner vers une formation ou un coaching SEO.

Un rédacteur web n’est pas obligé d’apprendre le référencement naturel. Il peut très bien vivre de son travail sans maîtriser le SEO. Il peut avoir d’autres atouts à son arc, comme le copywriting ou la gestion des réseaux sociaux. Mais la rédaction web est un l’un des piliers du SEO, il serait logique d’apprendre les bases du SEO.

Découvre pourquoi se former au SEO quand on est rédacteur web 🔥

Le référencement naturel peut paraître très compliqué aux novices. C’est vrai qu’il y a énormément de détails à connaître. Par ailleurs, l’importance du SEO peut faire croire que c’est difficile à apprendre, donner un a priori négatif. Pourtant, ce n’est pas si compliqué que ça en a l’air. J’ai l’habitude de faire une comparaison : conduire est compliqué pour quelqu’un qui est en train d’apprendre. Mais c’est quelque chose de simple et de naturel pour quelqu’un qui est expérimenté. Le SEO, c’est pareil. Une fois qu’on sait, c’est tout simple. En fait, c’est que de la logique. Mais certaines choses doivent tout de même être assimilées. En cas de grosse erreur, Google peut pénaliser un site, ce qui diminue très fortement son trafic organique. 

Tu veux apprendre le SEO, ou simplement déléguer cette tâche pour te concentrer sur ton activité principale ? Contacte-moi : le référencement naturel est mon métier.

Comment faire une fiche produit ?

En e-commerce, la fiche produit est indispensable pour convaincre les clients à acheter ce que l’on vend. Son rôle est de décrire le produit et de donner envie au visiteur de le mettre dans son panier. Faire une fiche produit de qualité n’est pas si simple car elle doit être la plus complète et précise possible. Idéalement, elle doit comporter les éléments suivants :

  • un texte ;
  • une image ;
  • une vidéo ;
  • un bouton d’achat ;
  • un prix.

Entre le SEO, le storytelling, le cross-selling et les règles de rédaction web, entre autres, les paramètres pour réussir une fiche produit sont nombreux. Voici les 13 éléments qu’il faut maîtriser.

Comment rédiger une fiche produit ?

1- Faire une fiche produit qui donne un maximum d’informations

Revenons aux bases. La fiche produit est la page web de votre site qui présente un produit précis de votre collection. A ne pas confondre avec la page catégorie, qui, comme son nom l’indique, présente l’intégralité des produits d’une même catégorie. Par exemple, tous vos costumes pour garçons si vous avez une boutique en ligne de déguisements. Si l’on clique sur le déguisement pirate, on accède à la fiche produit.

L’internaute a cliqué sur ce produit précis parce qu’il est intéressé. Il souhaite l’acheter mais a encore quelques doutes à son sujet, mais souhaite en savoir davantage. Il va alors regarder l’image, le prix, et la description.

Dans la description, donnez un maximum d’informations. En tant que rédacteur web, je suis toujours abasourdi quand je vois des fiches produit faire 3 lignes. Ce n’est absolument pas suffisant pour être convaincant !

Soyez complet et précis. Ne laissez pas l’ombre d’un doute au prospect. Pensez bien qu’il est seul face à son écran. Sur le web, il ne peut pas poser ses questions au vendeur. Vous devez donc anticiper ses interrogations et y répondre dans votre texte.

Une bonne fiche produit explique :

  • l’origine du produit et de ses matières premières ;
  • sa fabrication ;
  • son entretien ;
  • ses bénéfices ;
  • ses limites ;
  • sa taille et son poids.

Vous pouvez prendre exemple sur cet exemple de fiche produit et toutes celles de ce site : https://www.en-pleine-forme.com/the-skyf/

2- Communiquer au client

Pour pousser les visiteurs de votre site e-commerce à acheter vos produits, vous devez vous adresser à eux. Cela doit se ressentir dans le vocabulaire et le ton que vous employez.

Par exemple, si vous vendez des produits à des adolescents, rapprochez-vous d’eux en utilisant des mots qu’eux seuls comprennent. Pourquoi pas du verlan, utiliser des emojis ou même des hashtags, sans tomber dans le cliché. Ce sont des procédés utilisés par des entreprises comme Netflix ou les fast-food. En lisant vos textes, ils auront presque l’impression de lire un message que leur pote leur a envoyé.

Au contraire, si votre catalogue est destiné à des personnes âgées, utilisez un ton calme et un vocabulaire plus soutenu. Pourquoi ne pas raconter une histoire qui pourrait les reconnecter à leur jeunesse ?

Tout ce travail stratégique est simplifié en dressant le portrait de son client idéal. En sachant à qui vous vendez vos produits, vous saurez comment leur parler.

Attention, conservez tout de même votre identité. Ne jouez pas un rôle dans le seul but de séduire. Vos clients doivent vous aimer pour qui vous êtes.

3- Réussir l’introduction

L’introduction est le début du texte de la fiche produit, que nous allons appeler description. Ce sont les premiers mots que vont lire les visiteurs du site.

Saviez-vous qu’il suffit de 4 secondes pour capter l’attention d’une personne ? Si après ces quelques secondes, le lecteur n’est pas convaincu par votre texte, il y a de fortes chances pour qu’il ne se donne pas la peine de continuer la lecture.

Réussir l’introduction est donc indispensable dès que l’on rédige du contenu sur internet. Encore plus dans le cas d’une fiche produit, où l’on cherche à vendre quelque chose.

Si l’intro de votre description est ratée, vous aurez du mal à vendre le produit en question. Voici quelques astuces pour réussir son introduction :

  • insérer une statistique, sans oublier d’indiquer la source ;
  • intégrer une citation ;
  • poser une question ;
  • oser une petite blague ;
  • raconter une courte anecdote…

Il existe d’autres techniques précises pour commencer un article de blog ou une fiche produit. J’ai d’ailleurs rédigé un article invité sur Conseils Marketing où je les dévoile.

4- Respecter les règles de rédaction web

La rédaction web, c’est le fait d’écrire pour le web. De rédiger le contenu que l’on trouve sur les sites. Écrire une fiche produit, c’est de la rédaction web.

Et c’est un métier. Il y a des règles précises à connaître et à appliquer.

Voici les principales règles en rédaction web :

  • faire des phrases courtes ;
  • aérer le texte en faisant des petits paragraphes ;
  • insérer au moins 2 sous-titres ;
  • avoir un vocabulaire varié pour éviter les répétitions ;
  • éviter les fautes d’orthographe ;
  • créer du contenu unique : pas de copier-coller ;
  • pas de blabla : aller droit au but sans répéter 2 fois la même choses.

Nous pouvons rajouter d’autres éléments comme tous les détails concernant le SEO, mais cela pourrait faire l’objet d’un article précis.

En clair, maîtriser les règles de rédaction web est indispensable pour réussir sa fiche produit. Sans cela, elle sera très désagréable à lire et absolument pas convaincante.

Comment structurer une fiche produit ?

Pour qu’elle soit vendeuse, une fiche produit doit être correctement structurée. Je ne vais pas parler du bouton d’achat et de l’affichage du prix car ce ne sont pas mes domaines d’expertise. Le design du site, ce n’est pas mon truc. En revanche, je sais qu’au-delà du texte, plusieurs éléments doivent apparaître sur une fiche produit. Notamment :

  • une photo ;
  • une vidéo ;
  • des avis clients ;
  • une FAQ…

En tout, je vais mentionner 6 éléments qu’il ne faut pas oublier sur une fiche produit.

5- Réussir les photos de son produit

Je ne suis pas un bon photographe, ce n’est pas mon domaine d’expertise. En revanche, j’ai eu l’occasion de participer à la rédaction d’articles pour un photographe, et cela m’a appris des choses. Maintenant, je sais notamment comment prendre une bonne photo de produit.

La photo doit être lumineuse. Je pense que c’est la base en photographie. Trop sombre, on ne voit rien. Trop lumineuse, ce n’est pas agréable. Il faut trouver le juste milieu.

Le meilleur moment pour prendre une photo est en début de matinée avant 10h, et en fin d’après-midi à partir de 17h. Entre ces deux créneaux horaires, le soleil est trop haut dans le ciel et donc trop éblouissant. Même par temps nuageux.

Évidemment, il est conseillé de favoriser la lumière naturelle. Si vous prenez une photo en intérieur, essayez également de profiter des rayons du soleil. Vous pouvez mettre un drap blanc devant la fenêtre pour atténuer la luminosité.

Mettez également le produit en valeur dans votre photo. Pourquoi ne pas créer une petite mise en scène pour que le client puisse se représenter une image positive du produit ?

Enfin, affichez plusieurs photos du même produit. Variez les angles. Permettez au client de connaître le produit sous toutes ses facettes. Rappelez-vous que le client ne peut pas voir le produit. Il ne peut pas le toucher si ne sentir. Il doit se contenter de vos photos. Elles doivent être le plus parlant possible.

Trouvez d’autres détails dans mon guide du e-commerce 🔥

6- Publier une vidéo

La vidéo n’est pas obligatoire, mais c’est un véritable plus. Contrairement aux images, la vidéo est en mouvement. Elle permet de voir le produit en utilisation et peut-être de connaître davantage de détails, de voir des choses que les photos ne révèlent pas.

Par ailleurs, la vidéo est très populaire en ce moment. La preuve avec les réseaux sociaux, tels que TikTok et Instagram, qui les mettent particulièrement en avant.

D’après une étude réalisée en 2020, le temps moyen passé sur un site ayant une vidéo augmente de 88%. Une page web qui a une vidéo a 2 fois plus de chances d’être partagée qu’une page sans vidéo. C’est un grand avantage pour, non seulement vendre votre produit, mais également améliorer la popularité de votre site.

7- Intégrer des avis clients

Les avis clients sont l’un des éléments les plus convaincants dans une fiche produit. C’est d’ailleurs indispensable pour tout business. Qui n’a jamais lu les avis en choisissant un restaurant pendant les vacances, ou en réservant un hôtel ?

Ces avis sont même plus importants que la description du produit. Certaines personnes lisent cette dernière en diagonal en pensant que « la marque ne vas pas dire du mal de son produit ». Or, les avis clients sont beaucoup plus sincères. Ils peuvent parfois donner des informations plus complètes que la description.

Sans ces avis, il manquera un sacré morceau à votre fiche produit !

8- Faire une fiche produit avec une FAQ

En vérité, il n’est pas nécessaire que la FAQ soit intégrée directement à votre fiche produit. En revanche, il doit y en avoir une quelque part sur votre site. Vous pouvez carrément créer une page pour la FAQ, ou bien la placer dans votre page d’accueil.

La Foire aux Questions va donner des informations supplémentaires à l’internaute. Ce sont des éléments que vous souhaitez mettre en lumière. Le visiteur de votre site va instinctivement aller jeter un oeil à votre FAQ : l’humain aime les questions et leurs réponses.

La FAQ est l’occasion de donner des renseignements par rapport à la fabrication de vos produits, à la livraison, le paiement ou le remboursement. Grâce à elle, démontrez aux visiteurs de votre boutique en ligne que vous avez tout prévu. Si un client rencontre un problème avec un produit, vous avez une solution. C’est un gage de sérieux et de professionnalisme qui donne confiance.

9- Faire une fiche produit en utilisant la technique du cross-selling

Le cross-selling, c’est le fait de vendre un produit complémentaire.

Dans une boulangerie, quand vous achetez du pain, on vous demande toujours s’il vous faut autre chose. Parfois, on vous demande si vous souhaitez acheter également la tarte en promotion aujourd’hui. Ce genre de proposition met l’eau à la bouche et peut inciter le client à consommer davantage.

Quand vous êtes en train de faire une fiche produit, proposez à la fin de la description quelques produits complémentaires ou similaires. Vous vendez des téléphones ? Redirigez le consommateur vers vos écouteurs. Vous faites la fiche d’une peluche ? Parlez également des draps que vous vendez !

L’intérêt du cross-selling est double : faire davantage de ventes, mais également conserver le visiteur avec vous. Imaginons qu’il découvre la fiche du produit qui l’intéresse, mais qu’il ne soit finalement pas convaincu. En proposant des produits similaires, vous pouvez l’aider à trouver son bonheur. Vous lui prouvez que vous êtes le commerce dont il a besoin.

10- Penser au maillage interne

Le maillage interne débute dès l’étape précédente avec le cross-selling. Mais en plus de lier vos produits entre eux, il faut également incorporer dans votre fiche produit le lien de vos articles de blog.

Pourquoi avoir un blog quand on a un e-commerce ? Parce que c’est grâce à lui que vous aurez de la visibilité sur Google et les autres moteurs de recherche. C’est le blog qui va apporter du trafic à votre site. C’est également à travers lui que vous pourrez apporter votre expertise.

Le blog consiste à répondre aux questions que se posent ses prospects. C’est une bonne manière de gagner leur confiance.

Pourquoi lier les articles de blog dans une fiche produit ? Pour apporter des précisions sur le produit en question ! Le maillage interne aide également au bon référencement de votre site. Enfin, il permet de conserver plus longtemps l’internaute sur le site, ce qui est apprécié par Google.

C’est un petit détail, mais il peut faire toute la différence avec vos concurrents qui, eux, ne vont pas le faire !

Quelles sont les techniques pour faire une fiche produit ?

Faire une fiche produit fait appel à des compétences précises telles que la maîtrise du SEO et du storytelling. Voyons dans quelles mesures. Nous allons également aborder le sujet de l’affiliation, qui nécessite également à rédiger une fiche produit.

11- Penser SEO en faisant une fiche produit

Le SEO est ce qui permet à une page web d’être trouvée sur Google. En répondant aux critères de ses algorithmes, un site est alors pertinent, et Google le met en avant.

Dans un e-commerce, une fiche produit n’est pas un élément essentiel à optimiser. Les pages catégories et les articles de blog sont prioritaires.

Cependant il ne faut pas délaisser le SEO de vos fiches produit. Certains éléments doivent être travaillés, tels que :

  • le Title ;
  • la balise Alt de vos images ;
  • le poids des images ;
  • attention au contenu dupliqué.

Prenez également le temps de vérifier le volume de recherche de vos mots-clés. Pour un même produit, quel terme faut-il utiliser ?

J’ai eu le cas avec une cliente qui commercialise des gants exfoliants en soie. J’ai effectué une longue recherche pour savoir sur quel terme je devais partir, entre les suivants :

  • gant exfoliant en soie ;
  • gant en soie exfoliant ;
  • gant de crin ;
  • gant de gommage ;
  • gant en soie gommage ;
  • gant de toilette gommant ;
  • gant de toilette exfoliant.

Cette étude de mots-clés est indispensable pour le succès du référencement de votre boutique en ligne.

Enfin, n’oubliez pas de vous procurer des backlinks !

12- Le storytelling

Pour le coup, le storytelling n’est pas indispensable pour faire une fiche e-commerce. Mais ça peut apporter un + non négligeable. Les internautes sont sensibles au storytelling, qui est le fait de décrire un produit ou d’expliquer quelque chose sous forme d’histoire. C’est un récit, agréable à lire, qui apprend des choses sur quelque chose ou quelqu’un.

Le storytelling est généralement utilisé pour la rédaction de pages à propos. Ma mienne n’y fait pas exception !

Vous pouvez utiliser cette technique pour mettre en scène votre produit. Attention cependant à maîtriser cette façon d’écrire.

13- L’affiliation

Avec l’affiliation, nous sortons du secteur du e-commerce. L’affiliation concerne principalement les blogueurs : c’est un moyen de diversifier ses revenus, et surtout d’avoir des revenus passif.

En fait, absolument tout le monde peut faire de l’affiliation. Il faut être partenaire d’une boutique, par exemple d’Amazon. C’est fait en quelques clics. Vous aurez accès à un espace partenaire, ainsi qu’à la boutique habituelle. Lorsque vous allez dans la fiche d’un produit, vous pourrez accéder à un lien spécial : le lien affilié. Si quelqu’un utilise ce lien pour accéder au produit en question et l’achète, vous recevrez un pourcentage du prix d’achat.

L’objectif de l’affiliation est donc de transmettre ces liens affiliés à un maximum de personnes. Vous pouvez bien-sûr les communiquer autour de vous, à votre famille et vos amis. Mais la meilleure façon de toucher un maximum de personne, c’est de créer un blog.

Généralement, il est conseillé de créer un site de niche, qui est spécialisé dans un domaine : le sport, les abeilles, les trottinettes, la musique, la vaisselle… Vous créez de nombreux articles de blogs très précis sur ce secteur. La concurrence sera faible et vous avez des chances d’être bien référencé. Dans vos articles, intégrez le lien affilié d’un produit que vous mentionnez dans votre article.

Il est aussi possible de décrire un produit précis, tel qu’une machine de sport, et de transmettre votre lien affilié. Ces fiches produit doivent être écrites d’une certaine façon. Votre objectif est de convaincre le lecteur d’utiliser votre lien affilié plutôt que d’entrer directement dans la boutique.

Pour cela, la meilleure façon est de parler de votre expérience avec ce produit. Si vous l’avez utilisé, expliquez le fonctionnement, le avant/après, des conseils d’utilisation… Vous pouvez d’ailleurs utiliser le storytelling pour raconter votre expérience.

Lorsque vous faites de l’affiliation, votre principale mission est de convaincre le lecteur de vous faire confiance et d’utiliser votre lien.

Faire une fiche produit est un métier

Vous l’avez vu, de nombreux éléments composent une fiche produit et ils doivent être travaillés pour être convaincants. Or, en tant qu’e-commerçant, votre métier n’est pas de faire des fiches produit. Vous avez d’autres choses à faire.

En revanche, c’est le métier du rédacteur web SEO. C’est mon métier 😉 Pour gagner du temps, de l’énergie et être serein, déléguer la rédaction de vos fiches produits à un professionnel ne peut être qu’une bonne idée.

Contactez-moi pour me parler de votre projet.

Trouver des mots-clés : 12 techniques et conseils

La recherche de mots-clés est l’une des étapes incontournables d’une bonne stratégie SEO. Le choix de la requête clée a un fort impact sur le potentiel trafic de la page web. N’oublions pas les mots-clés secondaires, le champ sémantique, qui renforcent la crédibilité d’une page auprès de Google. Bref, les mots-clés forment une famille très large dans le milieu du SEO : ils constituent d’ailleurs un pilier du référencement naturel. Alors, comment trouver des mots-clés pour son site, et comment les choisir ? Quel est leur véritable rôle sur le référencement d’un site ? Quels sont les pièges à éviter ?

Rédacteur web SEO depuis 2020, les mots-clés n’ont plus de secrets pour moi : je les côtoie tous les jours ! Découvrez mes conseils pour avoir des mots-clés de qualité pour son site.

Recherche de mots-clés : pourquoi est-ce une étape important

Vous allez peut-être vous demander : quelle est la définition d’un mot-clé en SEO ?

Un mot-clé est un terme ou une expression saisie sur un moteur de recherche par l’internaute. Il espère avoir des informations à ce sujet. En SEO, définir un mot-clé pour une page web permet à celle-ci d’être proposée à l’internaute qui recherche cette même requête.

Quel est le rôle d’un mot-clé ?

En fait, il existe plusieurs types de mots-clés qui ont un rôle différent :

  • le mot-clé principal ;
  • le mot-clé secondaire ;
  • le champ-sémantique, souvent appelés également « mots-clés », tout court.

Comme expliqué plus haut, le mot-clé principal est recherché sur Google. C’est sur celui-ci que l’on souhaite se placer pour avoir des visiteurs. Par exemple, pour cet article, ma requête principale est « trouver des mots-clés« .

Le mot-clé secondaire est un synonyme du principal, qui est utilisé pour éviter les répétitions. La page web peut également se positionner sur ce terme. Pour cet article, nous pouvons considérer que les mots-clés secondaires sont « rechercher des mots-clés« , « avoir des mots-clés »… Cela permet à la page web d’apparaître sur plusieurs requêtes et donc d’attirer davantage de trafic.

Le champ sémantique, c’est tout le vocabulaire qui tourne autour de la requête principale afin de faire comprendre à Google de quoi parle le texte. J’ai l’habitude d’utiliser cet exemple :

  • Si je rédige un article sur le Sahara sans faire apparaître les mots « sable », dune », « Afrique » ou « chaleur », Google comprendra qu’il manque quelque chose. Il pensera que mon article n’est pas complet, donc pas pertinent pour le lecteur, et ne va pas le placer dans les premiers résultats de recherche.

Il est donc important de placer dans son texte toute une liste de mots-clés qui vont enrichir le contenu sémantique de la page web.

C’est en ce sens que le travail du rédacteur web est long et plus complexe que ce que l’on pourrait imaginer. Il doit non seulement rechercher des informations pertinentes et écrire un texte de qualité, mais également trouver des mots-clés divers et variés. Et pour cela, il y a une stratégie à connaître.

Trouver des mots-clés, un pilier du SEO

Je peux même dire que ça combine 2 piliers du SEO :

  • le contenu ;
  • la stratégie.

Google analyse les termes présents dans un texte pour comprendre de quoi il traite afin de le proposer au mieux aux internautes. Rédiger un contenu de qualité est indispensable pour être bien placé sur le moteur de recherche, mais également pour satisfaire les lecteurs. Ils doivent à la fois trouver la réponse à ce qu’ils recherchent, mais également bénéficier d’une expérience de lecture agréable.

Mais, pour lire votre contenu, encore faut-ils qu’ils le trouvent. Que doivent taper les internautes sur Google pour que votre page web s’affiche ?

C’est la question que vous devez vous poser pour rechercher votre mot-clé principal.

Parce que, en effet, si personne ne recherche votre requête clée, personne ne trouvera votre page.

Par ailleurs, le terme que vous choisissez ne doit pas être trop concurrentiel. Si tel est le cas, vous aurez moins de chances d’apparaître dans les premiers résultats de recherche. Vous serez donc peu visible, voire pas du tout.

Un mot-clé principal idéal est donc un terme ou une expression qui est recherchée, mais peu concurrentielle.

PS : Ça ne court pas les rues 😉

↪ La stratégie à adopter est généralement de miser sur des mots-clés de longue-traine. Ils sont plus précis et moins recherchés qu’une requête principale, mais également moins concurrentiels. Le trafic est faible, mais qualifié.

Trouver un mot-clé est alors un véritable travail de recherches et de stratégie qui prend parfois du temps !

Heureusement, des outils nous simplifient la tâche. ⬇

Trouver des mots-clés avec des outils gratuits

Vous avez déjà entendu parler du volume de recherche ? Il s’agit d’un nombre indiquant combien de fois un mot-clé a été recherché sur Google, en moyenne sur les 12 derniers mois. Ce nombre va nous intéresser pour savoir s’il a du succès et si nous avons intérêt à nous positionner dessus. Cependant, ce n’est qu’une estimation et ce nombre peut varier d’un outil à un autre.

Penchons-nous maintenant sur les outils gratuits que j’utilise et que je recommande pour trouver des mots-clés.

Keyword surfer

Keyword surfer est un plugin gratuit disponible sur Chrome et Firefox. Il est multi-fonctions et indique de nombreuses choses, ce qui en fait l’un de mes plugins SEO préférés. En effet, grâce à lui, nous pouvons connaître :

  • le volume de recherche du mot-clé recherché ;
  • des mots-clés similaires (pour le champ sémantique 😉) et leur propre volume de recherche ;
  • le nombre de mots dans chaque page ;
  • le trafic SEO estimé pour chaque site ;
  • le prix moyen d’une campagne adwords.
Exemple de l'utilisation du plugin Keyword Surfer

Nous voyons sur cette image ma barre de recherche Google dans laquelle j’ai tapé le mot-clé principal de cet article. D’après le plugin, son volume de recherche est de 210 et le prix pour une publicité est relativement élevé. Et pour cause : 4 annonces apparaissent sur la première page de Google. La concurrence est donc élevée : les sites veulent se positionner sur ce mot-clé.

La barre de recherche Google avec le plugin Keyword Surfer

Ici, j’ai simplement cliqué dans la barre de recherche. Comme habituellement, des suggestions apparaissent en dessous, mais le plugin innove en affichant également les « Autres questions posées » sur la droite. Cela permet d’avoir davantage d’indices sur ce que les gens recherchent. Notons cependant que ces même questions apparaissent dans la SERP, un peu plus bas sur la page.

Trouver des mots-clés avec Keyword Surfer

Sur la droite de l’écran se trouve une liste de mots-clés, comme celle-ci. Il est possible de les classer par similitude, comme c’est le cas actuellement, ou par volume de recherche.

Vous voyez le drapeau français, en haut à droite de l’image ? Cliquer dessus permet de sélectionner un pays pour connaître les volumes de recherche dans cette nation. Je constate par exemple que les Belges recherchent en moyenne 720 fois « chocolatine », les Suisses 320 fois et les Français… 22 200 fois ! Le plugin Keyword Surfer est le seul outil que je connais qui délivre des volumes de recherches étrangers, ce qui est un grand avantage !

Le plugin SEO gratuit Keyword Surfer

Ce graphique apparaît juste en dessous de la liste de mots-clés vue précédemment. Il y a un graphique pour le trafic (difficile à dire à haute voix 😅), un autre pour les mots présents dans la page (c’est le cas ici) et un troisième qui représente le nombre de fois où le mot-clé recherché apparait sur la page. Les sites qui apparaissent sur la graphique sont les 10 résultats naturels de la page + les résultats en PAA (ce sont les « autres questions posées »). Les annonces ne sont pas prises en compte. Ces graphiques sont pratiques pour comparer en un coup d’œil les différents résultats naturels.

Trouver des mots-clés avec Google

Google peut lui-même donner des pistes pour trouver des mots-clés intéressants pour votre site. De 3 façons différentes :

  • avec les suggestions ;
  • grâce aux PAA ;
  • en regardant les recherches associées.

Les suggestions de Google

Les suggestions apparaissent en cliquant dans la barre de recherche. Ils sont une petite dizaine et correspondent à des termes recherchées par les internautes.

Exemple des suggestions de Google

Les suggestions de Google nous donne des mots-clés complémentaires à celui qui a été recherché : ce sont les mots-clés de longue traine. Si vous avez un blog sur le voyage, vous pouvez totalement envisager un article sur chacun de ces termes !

➡ Saviez-vous qu’en plaçant un astérisque juste avant, ou juste après le mot-clé recherché, de nouvelles suggestions apparaissent ?

Les suggestions de Google avec une astérisque avant
Trouver des mots-clés avec une atsérisque dans la barre de recherche

Cela vous fait donne encore une multitude de sujets à aborder dans votre blog !

Peu de personnes connaissent cette technique : vous avez donc un coup d’avance sur vos concurrents qui, eux, ne vont certainement pas chercher à se référencer sur tous ces termes !

Les PAA

Vous connaissez les PAA ? En bon anglais, ce sont les People Also Ask ; en français, « les autres questions posées ». Je pourrai faire un article entier à leur sujet, mais voici ce qu’il faut retenir :

  • Arrivés en France en 2016, les PAA s’affichent sous forme de questions qui apparaissent entre le 1er et le 2e résultat naturel de Google.
  • Google devient alors un moteur de réponses : l’internaute accède en un coup d’œil à la réponse de la question qu’il se pose.
  • C’est un menu déroulant : cliquer sur une question fait apparaître de nouvelles questions. Et cela, à l’infini. De quoi faire perdre en visibilité les sites placés dessous.

Comme les suggestions, les PAA sont de véritables questions recherchées par les internautes. Là encore, elles peuvent donner des idées pour de nouveaux articles de blog !

Trouver des mots-clés grâce aux PAA

Les recherches associées

Enfin, Google met à notre disposition des recherches associées. Ce sont 8 mots-clés qui s’affichent tout en bas de la SERP. Elles aussi peuvent donner des idées de nouveaux articles de blog.

Les recherches associées de Google

Être présent sur touuuuuus ces mots-clés (les suggestions + les PAA + les recherches associées) t’assure une immense visibilité : on ne trouvera que toi sur Google ! Tu deviendras une référence et tu accéléreras considérablement le trafic organique de ton site.

J’expliquerai rapidement en fin d’article comment faire en sorte d’être dans les premiers résultats de Google. Sinon, tu peux aussi fouiller sur mon blog. Par exemple, cet article devrait t’aider 😉

Trouver des mots-clés grâce aux concurrents

Les concurrents peuvent être d’une grande aide pour améliorer sa présence sur Google et trouver des mots-clés.

Vous avez épuisé toutes les aide fournis par Google, mais avez besoin de nouveaux articles de blog ? (Spoiler : il faut toujours de nouveaux articles de blog). Dans ce cas, les concurrents peuvent vous être d’une grande aide. Il vous suffit d’aller sur leur blog et de regarder les sujets qu’ils abordent. Cela peut vous donner des idées !

Comment savoir quel mot-clé principal a utilisé le concurrent pour son article ? S’il est bien fait, la requête clée se repère assez facilement car elle doit se trouver dans des zones « chaudes » :

  • l’URL ;
  • le titre ;
  • l’introduction ;
  • quelques balises Hn.

Évidemment, vous devrez ensuite tourner l’article à votre sauce : ne faites jamais de copié-collé !

Utiliser YouTube et Amazon

YouTube et Amazon ont un algorithme similaire à celui de Google. Ces deux plateformes ont une barre de recherche dans lequel l’internaute peut taper un mot-clé pour trouver ce qu’il cherche. Comme Google !

En ce sens, si vous tapez un terme sur YouTube et que le titre des vidéos qui apparaissent ne contient pas ce terme… ce n’est peut-être pas un mot-clé intéressant ! Même chose sur Amazon.

Trouver des mots-clés avec des outils payants

Au-delà de toutes ces techniques, l’utilisation d’outils payants peut s’avérer être utile. Parmi toutes les méthodes gratuites que nous avons vu, seul le plugin Keyword Surfer révèle le volume de recherche des mots-clés. Une donnée pourtant capitale pour réussir sa stratégie SEO. Les outils payants nous révèle cette statistique, ainsi que d’autres éléments intéressants.

Trouver des mots-clés avec Ranxplorer

Qu’est-ce que Ranxplorer ?

Ranxplorer est un logiciel SEO français et très complet. Il est l’un d’est outils que j’utilise le plus. Il permet de :

  • connaître le trafic SEO estimé d’un site, quel qu’il soit ;
  • connaître l’évolution du trafic d’un site, mois par mois sur les 2 ans et demi précédents ;
  • savoir sur combien de mots-clés un site est positionné ;
  • savoir en quelle position un site apparaît sur chaque mot-clé ;
  • avoir une estimation du trafic apporté par chaque mot-clé ;
  • connaître le volume de recherche d’un mot-clé (en France) ;
  • savoir quel mois de l’année un mot-clé est le plus souvent recherché ;
  • comparer un site avec des concurrents ;
  • savoir s’il est simple ou difficile de se référencer naturellement sur un mot-clé (avec une note de 0 à 100) ;
  • savoir s’il est simple ou difficile d’apparaître en référencement payant sur un mot-clé (avec une note de 0 à 100).

Vous le voyez, Ranxplorer a beau être payant, il est extrêmement complet. Je m’en sert pour faire mes états des lieux SEO, et souvent pour chercher des mots-clés dans le cadre de la rédaction d’un article.

Comment trouver des mots-clés avec Ranxplorer ?

1- Taper un mot-clé dans la barre de recherche.

Trouver des mots-clés avec Ranxplorer

2- Un écran tel que celui-ci apparaîtra. Nous pouvons y voir une multitude d’informations :

  1. Possibilité de filtrer la recherche par type de mots-clés. Par exemple, seuls des questions ou bien des mots-clés locaux, peuvent apparaître.
  2. La liste de mots-clés.
  3. Le volume de recherche de chaque mot-clé. Par exemple, le terme « ou partir en vacances » (attention, sans l’accent sur le « u ») est recherché 9710 fois. Nous voyons plus bas que 910 personnes par mois font l’effort d’écrire la même question avec l’accent sur le « u » de « où ».
  4. La note concernant la difficulté à se positionner naturellement sur le mot-clé en question. Nous voyons ici que d’après Ranxplorer, il semble être relativement compliqué de se référencer sur ces termes.

Les mots-clés proposés sur cet écran comportent tous la mention « partir en vacances », un peu comme les suggestions de Google. Cela permet de trouver des mots-clés de longue traine.

Nous voyons, juste en dessous de la barre de recherche, qu’il y a 4 onglets :

  • générateur de mots ;
  • cocon sémantique ;
  • analyse de la SERP ;
  • évolution de la SERP.

Nous sommes ici dans l’onglet Générateur de mots. Allons voir les 3 autres.

Rechercher des mots-clés sur Ranxplorer

L’onglet du cocon sémantique nous présente un tas de mots qui sont en rapport avec le terme recherché, comme « voyage » et « soleil ». Cela donne de nouvelles idées. Et oui, certaines personnes ne recherchent pas « partir en vacances », mais « voyage au soleil » par exemple !

Par défaut, la liste est classée par volume, c’est-à-dire que nous voyons d’abord les termes les plus recherchés. Ce sont logiquement des termes très généraux et difficiles à concurrencer. Plus loin dans la liste se trouve des mots-clés de longue traine plus intéressants, tels que « voyage de rêve au soleil » ou « partir en famille au soleil ».

Nous apercevons également le nombre total de résultats sur Google. Moins il y a de résultats, moins le terme est concurrentiel. Forcément, il est plus facile de se faire une place sur un terme comme « vacances au soleil » où il n’y a « que » 5,8M de résultats, plutôt que sur « partir » où il y en a 4,29 milliards !

Analyse de la Serp sur Ranxplorer

Le troisième onglet est l’analyse de la SERP. Là encore, de nombreuses informations sont affichées.

  1. Le volume de recherche du mot-clé recherché (ce qui n’apparaît pas sur les deux pages précédentes !)
  2. Saisonnalité des saisons. Permet de savoir le volume de recherche du mot-clé, mois par mois. En passant la souris sur une colonne bleue, un chiffre est indiqué.
  3. Coût au clic maximum. Concerne le référencement payant. Permet de savoir si un mot-clé est « cher ». Si ce n’est pas le cas, cela signifie que le terme n’est pas intéressant pour faire de la publicité. D’ailleurs, aucune publicité n’apparaît sur Google sur ce mot-clé.
  4. Intensité de la concurrence. Permet de savoir s’il est « facile » de se positionner sur ce mot-clé, avec une annonce payante ou naturellement.
  5. Résultats naturel. Sont affichés ici les résultats tels qu’ils apparaissent sur Google, au début du mois de juillet 2022. Cliquer sur le site, ou sur l’URL, permet d’avoir des informations à leurs sujet.
Évolution de la SERP sur Google

Le dernier onglet n’est pas vraiment utile pour trouver des mots-clés. Mais il est intéressant pour connaître l’évolution de la SERP. Nous voyons quels sites ont gagné et perdu des places par rapport au mois précédent.

Finalement, Ranxplorer est un outil pouvant être complexe à comprendre et à utiliser, tant il est complet. Une fois que les marques sont prises, cet outil se montre très utile pour chercher des mots-clés pour son site. Il est bien plus complet que les techniques gratuites et permet de peaufiner sa stratégie.

Trouver des mots-clés avec Ubersuggest

Ubersuggest est similaire à Ranxplorer. Ce sont deux concurrents.

Pour ma part, j’ai l’habitude d’utiliser Ranxplorer. Je connais très peu Ubersuggest, que je trouve moins complet et moins précis. Cependant, je sais que la majorité des rédacteurs et spécialistes SEO se servent d’Ubersuggest. Certainement parce qu’ils ne connaissent pas Ranxplorer 😉

Trouver des mots-clés avec Ubersuggest

L’accueil d’Ubersuggest se présente ainsi. Rendez-vous sur « mots-clés, dans le menu à droite, puis sur « analyse de mots-clés ».

Comme sur Ranxplorer, une barre de recherche s’affiche. Renseignez votre mot-clé. Il est possible de sélectionner un pays et une langue.

Analyser des mots-clés sur Ubersuggest

Plusieurs informations apparaissent.

  • Le volume de recherche ;
  • La difficulté SEO ;
  • La difficulté payant (SEA) ;
  • Le coût par clic
  • Le nombre moyen de backlinks des résultats du top 10 et la moyenne de leur Domain Authority ;
  • Le volulme de recherche sur mobile, et sur ordinateur.

Les informations données par Ubersuggest sont différentes que celles de Ranxplorer : les deux logiciels sont complémentaires.

Plus bas se trouve un tableau avec des idées de mots-clés et leur volume, comme sur Ranxplorer.

Trouver des mots-clés : autres astuces

Une grave erreur à éviter

Vous connaissez la cannibalisme ? C’est quand 2 mots-clés se marchent dessus.

La principale erreur à ne pas commettre, c’est d’assigner le même mot-clé principal à 2 pages du même site. Eh oui, elles vont se concurrencer elles-mêmes ! Vous avez déjà fait une page sur cette requête, quel est l’intérêt d’en faire une autre ?

➡ Par exemple, j’ai vu une fois sur un site deux articles de blog avec exactement le même titre. Comme si le blogueur avait d’abord rédigé un très long article, l’avait coupé en deux pour publier deux articles complémentaires, en « partie 1 » et « partie 2 ».

↪ Son souhait était certainement d’occuper 2 places dans la SERP. En soit, ce n’est pas illogique. Mais le SEO ne fonctionne pas comme ça. Google n’est pas dupe.

❌ Deux pages du même site qui sont référencée sur la même requête se concurrencent entre elles. Tout comme elles sont en concurrence avec tous les autres résultats. C’est le cannibalisme. Google ne saura pas quelle page prioriser, laquelle est vraiment importante et laquelle il doit placer en premier. Mais Google a énormément de travail. Donc il ne va pas s’embêter, et va « ignorer » vos pages. Conséquences : elles risquent d’être mal placées sur Google. Le moteur de recherche va plutôt mettre en avant des pages qui ont fait le boulot correctement.

Si votre article est très long, placez un sommaire plutôt que de le couper en deux.

Malgré tout, il est possible de chercher un référencer une page sur un mot-clé, et une autre sur un mot-clé de longue traine. Par exemple, je pourrai parfaitement, plus tard, rédiger un nouvel article sur le mot-clé « trouver des mots-clés gratuits ».

Connaître l’intention de recherche des internautes

Quand vous recherchez un mot-clé principal pour votre page web, il est important de prendre en compte l’intention de recherche de l’internaute. Il peut vouloir se renseigner, ou acheter. En ce sens, il existe deux types de requêtes :

  • le mot-clé informationnel ;
  • le mot-clé transactionnel.

Quel est l’objectif de votre page web ? Informer, ou vendre ? Si c’est d’informer, vous devez sélectionner un mot-clé informationnel, tel que :

  • Où partir en vacances ?
  • Partir en vacances seule
  • Comment organiser son départ en vacances ?

Au contraire, si votre objectif est de vendre, tournez-vous vers une requête transactionnelle :

  • Réserver un départ en vacances ;
  • Airbnb vacances Nice.

Je le conçois, le terme « partir en vacances » n’est peut-être pas le meilleur exemple pour trouver un mot-clé transactionnel 😅

Ensuite, la logique doit se respecter avec le champ sémantique du contenu. Un texte transactionnel doit comporter des termes tels que « acheter », « payer », facture »… termes qui ne doivent pas apparaître dans un contenu informationnel.

Et du coup, comment être bien référencé sur le mot-clé principal choisi ?

Je ne vais pas entrer dans les détails car j’en parle longuement ailleurs, mais voici des éléments importants pour être bien référencé :

  • Placer le mot-clé principal au début de la balise Title ;
  • Le placer également dans le premier paragraphe du texte ;
  • Sans oublier de le placer dans le permalien ;
  • Ainsi que dans des balises Hn ;
  • Je l’ai dit et le répète : avoir un vocabulaire riche et varié ;
  • Se procurer des backlinks pour avoir un site puissant ;
  • Publier des images légères ;
  • Regarder les statistiques…

Bref, la recherche de mots-clés n’est qu’une tâche parmi d’autres pour être bien référencé sur Google. Si c’était si simple, tout le monde y parviendrait !

C’est d’ailleurs pour ça que le SEO est un métier. Il faut le maitriser, connaître le fonctionnement de Google et de ses algorithmes, savoir élaborer des stratégies…

C’est mon travail ! Alors, si tu ne te sens pas capable de trouver des mots-clés pertinents, ou de te référencer correctement dessus, contacte moi 😉